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La rue dit à Alya Hamza : Dégage !

Par Des lecteurs indignés – Réponse à l’article de Alya Hamza, injurieux pour la révolution, paru dans « La Presse de Tunisie » lundi 21 février 2011, en page 7, sous le titre « maintenant, ça suffit ! » : On croyait la mercenaire de la plume bien connue, Alya Hamza, à jamais disparue de la scène médiatique avec ses maîtres sanguinaires Leila et Zine El Abidine Ben Ali. Et voilà qu’elle a le cynisme de reparaître dans la Presse du 21 février …

“Démocratisation” néo-libérale du monde Arabe, projets pilotes en Tunisie et en Egypte

Par Takis Fotopoulos – En Egypte et en Tunisie, l’impensable s’est produit. Pour la première fois les pays arabes ont réussi à déraciner des régimes impitoyable et despotiques soutenus par l’élite transnationale, par des insurrections, et non pas, comme d’habitude, par coups d’État. Tout a commencé en Tunisie, où son peuple a été le premier dans le monde arabe à descendre dans la rue et renverser un dictateur efficace.

Tunisie : Dialogue de sourds et Prêche dans le désert

Par Salah Kedidi – Depuis quelques jours, des gens découvrent le besoin de s’exprimer sur les ondes, sur les écrans, sur la toile ainsi que sur les pancartes que l’on brandit pendant les manifestations, grèves et sit in. Les articles foisonnent sur les colonnes des quotidiens, des hebdomadaires, des magazines et autres publications électroniques.

Quelle nouvelle constitution pour la Tunisie

Par Hatem Bennour – Nous n’avons pas le temps pour élire une assemblée constituante en Tunisie. D’ailleurs, je ne vois pas comment, elle pourrait se faire élire, qui pourrait se présenter et comment vont se faire les élections. Est ce qu’on va avoir le choix entre 10 ou 1000 personnes, 10 c’est gérable, 1000 non.

الشعر و واجب الصراخ

لا ندري أي عمق أصاب هذا الشاعر “في العمق” حتى يتجاوز رحى الثورة الدائرة أمام عينيه إلى عمق شعري نلمسه في شعره الذي منه كتابه “غيمة في سروال”. بينما لم يستطع الشاعر التونسي أن يكون أعمق مما يدور أمام مبنى تلك الوزارة ، وزارة الداخلية، وقد اقتنع أن الوقوف أمامها والصراخ في وجهها ما هو سوى عمق العمق.

N’ayons pas la mémoire courte

Par Khaznagi Larbi – A lire les articles et à entendre les discussions, je reste tout à fait étonné de constater que nombreux sont ceux qui font remonter le début de la dictature, sous laquelle croulait notre pays, à la prise du pouvoir par Ben Ali. J’avais seize ans en 1956, l’année de l’indépendance. Et depuis, je n’ai jamais vécu sous un régime de liberté dans mon pays, jusqu’au soir du 14 janvier 2011. Alors pourquoi occulter cette période d’absolutisme sous Bourguiba, qui n’a jamais été un démocrate ?