Plus d’une dizaine de municipalités ont annoncé leur dissolution pour cause de démission de la majorité de leurs membres. Et ce, après seulement un an des premières élections municipales libres de l’histoire de la Tunisie. Derrière des dysfonctionnements apparents entre maires et conseillers, les stratégies partisanes et les intérêts personnels semblent toujours plus puissants que le mouvement de décentralisation, freiné par un pouvoir qui n’a d’yeux que pour les élections présidentielles.
