Culture 758

Bilan d’un an de “légitimité” : La culture, un secteur porté par ses acteurs et non par ses gouverneurs

Au moment des élections du 23 Octobre 2011, les attentes étaient grandissantes. Politiques, sociales, économiques, culturels, professionnelles. Légitimes. Au bout d’une année de « constituante », constitutive et symptomatique, dans tous les cas, essentielle, fondamentale et caractéristique d’un pays en (re)construction, qu’en est-il de notre « Culture »?

Cinéma : Babylon Aux confins du visible

« Babylon », a finalement déambulé son expérience dans le grand Tunis. Long-métrage documentaire indépendant de toute structure et autofinancé par une jeune boite de production, « Exit Productions », pensé, imaginé et mis en œuvre par trois non moins jeunes réalisateurs, Ismaël, Youssef Chebbi et Ala Eddine Slim, ce film est un véritable exercice de style avec l’accouchement programmé d’une nouvelle facture cinématographique nationale.

“احتفالا بذكرى اللاتحول : سهرة فنية بعنوان “هابي وقتاش

انتظم مساء يوم امس الاربعاء 7 نوفمبر 2012 حفل فني تحت عنوان : “هابي وقتاش” و هي تظاهرة موسيقية جاءت في شكل رسالة من الفنانين المشاركين تتزامن مع تاريخ السابع من نوفمبر للقول بان شيئا لم يتغير منذ الثورة الى الان.

“Etre noir-e dans la verte” : les couleurs de la société

Jusqu’à la fin du mois d’octobre l’espace El Teatro à Tunis organise toute une programmation avec exposition d’oeuvres d’art, performances, pièce de théâtre, conférences et ateliers. Une programmation qui a pour titre ” Etre noir-e dans la verte ” et qui donne à réfléchir sur la place des Noirs Tunisiens au sein de la société. Un événement inédit et qui traite d’une valeur importante : la tolérance.

حل كتاب : “القناصة و إصلاح المنظومة الأمنية” للضابط الطاهر بن يوسف

بعد أن قرأت كتاب السيد الطاهر بن يوسف المنسوخ باللغة الفرنسية، اتصلنا به كي يقدم هذا الكتاب القيم للتونسيين و القراء بصفة عامة. العديد من المعلومات الهامة وجب تسليط الضوء عليها كتواجد 20 متخصص في الرمي الدقيق في وحدات الأمن، الجيش و الحرس في تونس.

Les Tunisiens et le « sacré »

Les insultes visant « le sacré » des Musulmans en Tunisie se font de plus en plus dangereuses et menacent désormais la paix et l’unité même de la société Tunisienne et les acquis révolutionnaires. On se rappelle tous, la violence, les émeutes et clashes que les fameux tableaux de l’Ebdelléa. La sensitivité populaire aigu visa vis des œuvres « blasphèmes » et le potentiel du dérapages en Tunisie est donc un fait clair à tous.