Cheikh Khamis Majeri, au prétexte de faire l’exégèse du rite de l’imam Malek, école en vigueur en Tunisie, vient de verser dans l’ignorance totale de sa religion en voulant faire montre de son savoir.

Cheikh Khamis Majeri, au prétexte de faire l’exégèse du rite de l’imam Malek, école en vigueur en Tunisie, vient de verser dans l’ignorance totale de sa religion en voulant faire montre de son savoir.
La danse Harlem Shake qui se propage en Tunisie est une mode qui a envahi le monde entier en quelques heures suite à la diffusion d’une vidéo sur internet. Et depuis, chacun présente sa version de la danse et aujourd’hui,elle fait ravage dans les écoles non comme moyen de distraction mais d’expression.
On February 6, 2013, Chokri Belaid, the outspoken political opponent of Ennahdha was cowardly gunned down in front of his house. Three weeks later, it is however useful to re-visit the aftermath and one would almost gasp with admiration how the leading party Ennahdha managed to turn the situation around.
Contrairement à ce que pensent certains esprits encore éblouis par la modernité occidentale pourtant évanouie, le fait religieux est plus vivant que jamais. Le retour du religieux est même la marque majeure de la postmodernité, notre époque actuelle. Et cela est vérifiable partout dans le monde sous des formes diverses.
Les Tunisiens « modérés » refusent d’admettre qu’il y a, devant eux, des véritables scientifiques de la contradiction. Ils sont quasiment imbattables. Des siècles qu’ils s’entrainent à rendre vrai ce qui est faux. C’est la science de Satan et seule la science de Dieu peut la battre.
À l’origine de tout, comme dirait Jean Guitton, il est une question qui unit la morale à l’orgueil. À force de se prendre pour un croyant pur de tout péché, un surcroyant pour oser un néologisme en synonymie avec le bien fameux surhomme de la philosophie occidentale, on finit par être impur à sa croyance, faisant n’importe quoi, devenant fatalement n’importe quoi, et surtout rien par rapport à la foi même dont on se réclame.
جدل كبير يدور حول ما يسمى بقانون تحصين الثورة أو قانون إقصاء التجمعيين من الانتخابات القادمة. في الحقيقة، وبسبب تعطيل مسار العدالة الانتقالية والمحاسبة، أصبح اتخاذ الموقف السليم من هذا القانون معقدا في ظل صعوبة التوفيق بين عقلية ديمقراطية تنبذ الاقصاء، وبين ضرورة حماية البلاد ممن ظلمها في السابق وتسبب في مآسيها. أحاول في هذا المقال الإجابة على هذا السؤال بطرحه وفق مجموعة فرضيات والبحث عن جدوى هذا القانون وفق كل فرضية.
Aujourd’hui, ce n’est plus contre Ennahda que j’ai la haine – ils ont dépassés les bornes et ils savent qu’ils jouent aux cons et qu’ils le paieront un jour, tant pis pour eux. Par contre, ceux à qui j’ai envie d’explorer le cerveau pour voir ce qu’il y a dedans, ce sont les 40% de personnes qui n’auraient pas du se déplacer ce jour-là et que j’accuse d’avoir trahi la Tunisie et ces acquis et de l’avoir plongé dans le chaos en élisant ces héros de pacotille.
Au lendemain de la Révolution Tunisienne de 2011, l’ensemble de la nouvelle classe politique s’est empressée d’adopter un régime qu’on peut appeler une démocratie libérale. Depuis, plus aucun pas concret n’a été fait, aucun problème résolu, aucune revendication satisfaite
Tunisian journalist Malek Triki offers insight in this week’s OpEd into Prime Minister Hamadi Jebali’s “Last Passion” which eventually culminated in his resignation. He dissects the foundational flaws which could lead to the failure of Tunisia’s revolution.
Les plus éminents stylisticiens ne peuvent que s’incliner face à la beauté de l’oxymore que vient de nous tricoter le chef du gouvernement tunisien, Hamadi Jebali…de quoi faire mourir de jalousie un fin prestidigitateur de l’envergure de Silvio Berlusconi.
Le mouvement islamique est né en Tunisie à l’initiative de jeunes de la Médina. Très vite, ils se rassemblèrent autour de Abdelfattah Mourou. Leur objectif était de réformer les mœurs et de ramener les jeunes à la pratique religieuse à une époque où les mosquées étaient devenues le refuge de vieux retraités.
Dans mon pays, la personne qui ameute l’opinion publique sur un vol hypothétique, ou une malversation, se transforme en accusée par la justice; puisqu’un mandat d’interdiction de voyager a été émis à l’encontre de Olfa Riahi !
هذه تذكرة لمن صحّ إسلامه لنصرة الإسلام الحق بتونس، أساسها ما قاله عالم جليل في متن كان يتعلّمه كل طفل في مدارسنا، فلا تغيب عنه حقيقة الإسلام وكنه تعاليمه المتسامحة.
تعتبر جريمة اغتيال السياسي المرحوم شكري بلعيد جريمة نكراء و مدانة بكل المقاييس، مهما اختلف البعض معه في طروحاته السياسية المتطرفة. كما أنها تعد نقطة تحول في مسار الصراع بين الثورة والثورة المضادة، بين قوى الانتقال الديمقراطي وقوى الجذب إلى مربع الاستبداد. سأحاول أن أكون صريحاً وأن أتجرد في تحليلي قدر الإمكان، طارحاً السؤال الأهم والذي غيب لسبب أو لآخر عن الأجندة السياسية و الإعلامية و بالتالي عن أجندة الرأي العام؛ سؤال “من إغتال المرحوم شكري بلعيد؟”.
La révolution tunisienne a été souvent dépeinte comme une sorte de « pure » événement, une occurrence « unique » où un « peuple tunisien » quasi mythique et homogène a réussi à se débarrasser de son «dictateur». Par un acte quasi-magique, il aurait suffi que le peuple hurle « dégage » le 14 janvier 2011 pour que le dictateur prenne effectivement la fuite.
في هذه اللحظة الحرجة من تاريخ بلدنا الحبيب، تونس الجميلة، تونس الإمتاع والمؤانسة التي قهرت كل من أراد الإعتداء على ذاتيتها وعلى حريّة شعبها الأبي، في ساعة الحقيقة التي نعيشها، أتوجه إلى كل مسلم حقيقي وأقول لكل مؤمن غيور على دينه : أفق، أيها الغافي، إن دينك السمح في خطر بين أيدي من يريد تسليمه لجحافل أعراب قادمة من الجزيرة العربية، وهى أخطر على سلامته من أعدائه لأنها تدّعي الإسلام، وليس هو إلا إسلام الأعراب الذي ندد به القرآن
L’emploi est incontestablement la principale revendication des jeunes de la révolution. Il devrait constituer la première priorité du gouvernement provisoire issu d’élections démocratiques. Ce qui ne semble pas être le cas. Lors de multiples déclarations publiques, les différents ministres du gouvernement Jebali – et particulièrement Abdelwaheb Maater, Mohamed Ben Salem et Slim Besbès – nous ont submergé de données contradictoires et parfois farfelues concernant l’emploi.