[…] J’avais en tête tous ces considérants quand j’ai commencé une grève de la faim le 8 octobre dernier. Dès le début je savais que le chemin serait long et ardu, au regard de ma santé critique et compte tenu du mépris du pouvoir en place qui gère tous les problèmes sociaux d’un point de vue sécuritaire et policier […]
