Exercer la profession de médecin en Tunisie, sans jamais avoir mis les pieds dans une fac de médecine !

Exercer la profession de médecin en Tunisie, sans jamais avoir mis les pieds dans une fac de médecine !

Pour exercer la profession d’un « docteur en médecine », il suffit de s’installer en Tunisie et… peu importe les diplômes. Ceci en montant, comme s’il s’agissait d’une simple gargote, un « cabinet » donnant pignon sur rue à la vue de tous, surtout ceux du Conseil de l’ordre des médecins et du ministère de la Santé. Point de diplômes requis, ni de code de déontologie à respecter, ni assurance, ni la moindre garantie en cas de catastrophe. Et des catastrophes, il y en a eu une, récemment dans la région de Bizerte, qui fut fatale à une personne décédée entre les mains d’un charlatan !

Appel à Candidature : Journalistes/Développeurs Web/Caméraman/Éditeur multimédia/Assistant(e) de direction

Reconnue internationalement et très active au sein d’un network mondial d’activistes et d’ONGs, Nawaat vous offre, outre un salaire intéressant, un cadre de travail unique… dans une ambiance des plus stimulantes. Ceci avec des opportunités de formations, de voyages à l’Étranger et l’assurance d’avoir une audience auprès des plus influents, tant en de Tunisie qu’ailleurs.

La recherche scientifique en Tunisie : un business bien rapporteur.

La Tunisie, un pays accordant un grand intérêt à l’enseignement de point de vue budgétaire, ne fait pas l’exception des pays du tiers monde. Nous retrouvons dans les institutions universitaires un nombre assez important de laboratoires et d’unités de recherche. Une brève balade dans une institution universitaire peut impressionner certains et leurs donner l’impression que la Tunisie est un pays à fond en recherche scientifique.

Sbeïtla : Il n’y a pas que des bombes dans les montagnes…

Lorsque l’on prend connaissance d’un centre tel que celui du Centre Culturel de Wessaïa, dans la région de Sbeïtla, nous sommes immédiatement interpellés, surtout présentement, où l’on entend plus parler de ces contrées et territoires montagneux que pour signaler multiples dangers ou décompter le nombre de martyrs, quotidiennement assassinés lors d’affrontements avec des terroristes, ou explosés sur des mines.

À la recherche de la dignité citoyenne dans les pays du printemps arabe

Aujourd’hui, nous devons penser aux moyens de préserver notre expérience révolutionnaire qui a vu la renaissance du patriotisme au niveau socio-culturel et la réintroduction du citoyen arabe dans le cours de l’histoire. Actuellement, l’un des rôles les plus importants que devra assumer l’élite politique dans ce nouveau contexte est celui de reconnaitre que la dignité citoyenne constitue l’une des fondements de cette nouvelle ère postrévolutionnaire.

Madiba, Tout Un Homme…

L’hommage rendu à Mandela est planétaire et la Tunisie, le « Petit Pays aux trois Présidents » ne pouvait être en reste. Dans une « saine » émulation, chacun des dits « présidents » y est allé de son hommage : M. Laârayedh, Président du gouvernement s’est fendu d’un jeu de mots digne des plus ludiques des slogans situationnistes : « Mandela était le leader symbole et le symbole du leader »

La Quartette, le gouvernement civil et le meilleur économiste de Tunisie

2014 sera l’année de la faillite de l’Etat. Le monstre sera à genoux et ce sera une chance unique pour le réformer profondément et radicalement. Ses hyper-pouvoirs devront lui être supprimés. Le miracle citoyen est notre seul chance et la Quartette devrait sérieusement envisager de quitter le Titanic pour se préparer à la relève lorsque les politiciens et leur Etat seront dans l’iceberg. Qu’ils réussissent leur dialogue ou qu’ils ne le réussissent pas.

Tunisie : le rap et l’engagement politique

Depuis quelque temps, on entend beaucoup parler du rap engagé ou le rap politisé. Qui sont les rappeurs ? Ce sont tout simplement des jeunes gens enthousiastes qui ne savent pas forcément ce que veut dire une musique engagée, mais pourtant ils sont plus engagés que certains qui ont monopolisé cet art et ont toujours considéré que le rap n’est qu’une forme d’expression vocale qui ne se soumet à aucune loi de musique ni de poésie

Des visages, des ONGs et des enjeux : Regard subjectif sur la 6e édition du Forum de la presse arabe.

Des visages, des ONGs et des enjeux : Regard subjectif sur la 6e édition du Forum de la presse arabe.

Au-delà de l’objet même du Forum, c’est aussi une des rares occasions durant lesquelles se réunissent quelques-uns parmi ceux qui ont à cœur le devenir de la profession ainsi que son indépendance. Derrière ce combat pour la liberté de la presse, il y a d’abord des femmes et des hommes, mais également des ONGs qui font un travail forçant le respect depuis des années. Durant ce Forum, les membres de Nawaat ont eu l’occasion d’évoquer, d’une part, les incidences de la situation économique désastreuse de la presse arabe et, d’autre part, la place des nouveaux médias ainsi que le cadre juridique porteur de cette menace permanente, de droit, qui pèse sur les journalistes. Ces derniers pouvant être, à tout moment, privés de leurs libertés sans jamais avoir été condamnés par un tribunal compétent.

Les photos de la 6e édition du Forum WAN-IFRA de la presse arabe.

Voici les photos de la dernière édition du Forum WAN-IFRA de la presse Arabe, ayant eu lieu du 24 au 26 novembre 2013. Au-delà de l’objet même du Forum, c’est l’une de ces rares occasions durant lesquelles se réunissent quelques-uns parmi ceux qui ont à cœur le devenir de la profession ainsi que son indépendance. Derrière ce combat pour la liberté de la presse, il y a d’abord des femmes et des hommes, mais également des ONGs qui font un travail forçant le respect depuis des années…

Art et Violence. Où commence l’un, où finit l’autre… et vice-versa

L’on ne compte plus le nombre d’attaques contre les artistes, leur créations, leurs paroles, leurs opinons, leurs libertés d’expression. Plusieurs fois, ils ont fait et été l’objet d’agressions physiques, verbales, écrites. Devenus ennemis incommensurables des salafistes, qui les violentent et les menacent de mort, approuvés directement ou indirectement par les islamistes d’une part, du système judicaire et des policiers d’autre part