«La FIFA a porté des accusations contre la Fédération tunisienne de football (FTF) après l’incursion de supporters sur le terrain lors du match contre la France », ont indiqué des sites d’information en ligne. Quid de la véracité de ces éléments?

«La FIFA a porté des accusations contre la Fédération tunisienne de football (FTF) après l’incursion de supporters sur le terrain lors du match contre la France », ont indiqué des sites d’information en ligne. Quid de la véracité de ces éléments?
Pour des milliers de migrants subsahariens aspirant à rejoindre l’Europe, la Tunisie est devenue l’un des principaux pays de transit. Près de 57 mille migrants subsahariens vivent actuellement dans notre pays, selon les estimations du département des affaires économiques et sociales des Nations Unies (UNDESA). Et on compte désormais 4200 demandeurs d’asile et 7000 étudiants originaires d’Afrique subsaharienne, d’après les chiffres officiels de l’Observatoire national de la migration. L’Europe étant devenue une forteresse inexpugnable, avec des restrictions d’accès toujours plus draconiennes, la station Tunis a pris peu à peu des allures de terminus.
Elles s’appellent Baya Zardi, Hanène Elleuch, Najla Ettounssia, Rania Toumi… Leurs points communs : une certaine représentation de la beauté et une langue assez pendue pour alimenter le buzz. Elles se démènent corps et âmes pour y arriver, quitte à se dresser contre leurs semblables.
« Les Tunisiens Résidant à l’Etranger (TRE) ont été doublement pénalisés : d’une part, le nombre de sièges de leurs représentants a été revu à la baisse, passant de 18 à 10. D’autre part, la condition exigeant la collecte de 400 parrainages est aberrante et injuste », conteste un candidat non retenu pour les prochaines élections législatives. Manifestement, la nouvelle loi électorale a réduit la chance des TRE d’être représentés au parlement.
Avec des effectifs estimés à 8 mille selon les chiffres officiels et plus de 20 mille selon les ONG, les Ivoiriens constituent la communauté subsaharienne la plus importante en Tunisie. Quels sont leurs principaux problèmes ? Comment l’Etat et les ONG peuvent-ils contribuer à leur intégration économique et sociale ? Pour apporter des éléments de réponse, Nawaat a rencontré Ferdinand Tohbi, secrétaire général de l’Union des Ivoiriens en Tunisie.
Les œuvres de Yasser Ameur traitent de la société algérienne, critiquent son hypocrisie, ses névroses, ses dérives dont beaucoup ressemblent aux nôtres. Les compositions en jaune de l’artiste algérien subvertissent des grands classiques de l’Art en éclaboussant le réel.
Face à une réglementation qui favorise les semences hybrides et les pressions des lobbies semenciers industriels, défendre la liberté d’accès et de reproduction de semences, pour préserver la biodiversité et l’autonomie alimentaire des populations, est devenu une nécessité pour de nombreux agriculteurs. Dans un contexte marqué par la sécheresse et la crise alimentaire internationale, il s’agit désormais d’un enjeu de souveraineté alimentaire nationale.
Leur travail dans le secteur informel, leur intégration économique et sociale, les droits des travailleurs migrants ainsi que les conséquences de la précarité de leur situation… autant de points discutés avec Mahmoud Kaba, chargé du projet « migration et asile » auprès d’Euromed Droits. Entretien.
Dans ce contexte difficile, le gouvernement tunisien passe un énième accord avec le FMI. Mais, cette fois-ci, il s’agit plus d’une affaire de « transparence ». Apparemment, les créanciers valent plus que les Tunisiens quand il s’agit d’explications et d’intérêts.
La Tunisie compte 6 millions 321 mille locuteurs de français, selon l’OIF. Mais la langue française connait un déclin dans le pays. Bien qu’omniprésente, elle n’est pas nécessairement maitrisée, et se fait désormais bousculer par l’anglais.
Jadis contrôlé par des habitants de Jelma, délégation relevant du gouvernorat de Sidi Bouzid, le commerce informel de la rue d’Espagne est aujourd’hui sous la coupe des fils du village de Sbiba, originaires de Kasserine. Et il s’agit d’un monde très particulier, à l’organisation et au fonctionnement très codifiés. Une étude en dévoile les secrets.
Une vidéo artistique a été retirée après avoir été projetée pendant trois jours au Village de la Francophonie, à Djerba, où se tiendra le Sommet éponyme en fin de semaine. La nouvelle a été abondamment commentée sur Facebook, les internautes s’interrogeant sur les raisons du retrait de cette œuvre, ainsi que sur le responsable de cette décision.
La participation au Sommet de la francophonie du Premier ministre canadien, Justin Trudeau, et celle, probable, du président français Emmanuel Macron relativisent la théorie de l’isolement diplomatique de la Tunisie et rappellent que les Occidentaux savent remiser les discours sur les valeurs démocratiques dès lors que leurs intérêts sont en jeu.
La désactivation de la page Facebook officielle de la chaîne «Carthage +», le 14 novembre 2022, a suscité la polémique. Certains ont lié la fermeture de la page à l’émission « Stade+ », diffusée par la chaîne dimanche 13 novembre 2022. D’autres accusent la Fédération tunisienne de football (FTF) d’en être à l’origine, en raison de l’évocation du problème de la corruption dans le football tunisien lors de l’émission.
Le tribunal administratif de Sfax a accepté le 10 novembre 2022, le recours en appel intenté par un candidat aux élections législatives. La décision a suscité une vive polémique sur le processus électoral et la légitimité de ses résultats.
Les Ivoiriens constituent la communauté d’origine subsaharienne la plus importante en Tunisie. Or ils sont dans leur écrasante majorité en situation irrégulière. Une situation propice à toute sorte d’abus. Selon l’Instance nationale de lutte contre la traite des personnes (INLCTP), 80% des victimes sont de nationalité ivoirienne.
Les chiffres révélés par le président de l’ISIE suscitent pour le moins des interrogations. La parité hommes-femmes passe à la trappe. Et apparemment tous les Tunisiens ne bénéficieront pas nécessairement d’une représentation parlementaire. Tandis que la visibilité médiatique des candidats pose problème, puisqu’il s’agit désormais d’individus et non de listes électorales.
Le réalisateur du film «Charaf» (Honneur en arabe), Samir Nasr, n’a pas refusé de rendre le prix du meilleur scénario qu’il avait reçu par erreur, lors de la cérémonie de clôture des Journée Cinématographiques de Carthage (JCC), a déclaré à Nawaat le responsable de la section films du comité d’organisation, Aymen Jlili.