Dans une note publiée hier sur ce blog, nous avons relaté comment le quotidien Assabah et sa version française, Le […]
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Après la propagande dégoulinante et les interviews bidons, la maison Essabah sombre encore plus bas dans les marécages du journalisme […]
Dans la nuit du 15 au 16 août 2010, les affrontements ont repris entre les forces de police et les habitants de Ben Guerdane à la frontière entre la Tunisie et la Libye, dans les régions de Jamila Elkadima (Zekra), Nahdha et Jalal, les plus violents ayant lieu dans cette dernière.
Il est encore tôt de trancher sur ce qui s’est vraiment passé au niveau de la machine de la censure en Tunisie, qui reste, rappelons-le, obscure, top-secrète et centralisée au plus haut niveau de l’Etat et n’est en aucun cas entre les mains des quelques fournisseurs tunisiens d’accès à Internet (FAI); même si, et par excès de zèle, ils ont la possibilité d’ajouter une couche supplémentaire de censure visant leur clientèle.
La nuit du 13 août, les affrontements entre les habitants et les forces de police ont repris dans la région de Ben Guerdane, frontalière avec la Libye. Il s’agit de protestations contre la fermeture par les autorités tunisiennes du point de passage frontalier de Ras Jdir, qui a vu des échauffourées que les sources d’ Assabilonline décrivent comme violentes, dans quatre régions différentes de la délégation de Ben Guerdane.
Une leçon de bassesse à la Karoui & Karoui offerte à l’occasion de la mascarade électorale de 2009. A noter, […]
Aujourd’hui, mon mari, le journaliste Fahem Boukaddous, a effectué un mois d’emprisonnement sur les quatre ans auxquels il a été […]
Il ne sait même pas écrire le nom de la ville (sur son album de photos Facebook il avait publié […]
Il y a aujourd’hui deux femmes incarcérées pour des raisons politiques en Tunisie, quand les prisons comptent des milliers d’hommes. Il n’en a pas toujours été ainsi. Dans les années quatre vingt dix, des dizaines de femmes ont connu l’emprisonnement pour leurs idées. Afef Bennaceur, connue aujourd’hui comme militante contre le chômage, revient sur la décennie passée et sur ses combats actuels.
Une quinzaine de personne a tenté de se rendre à Sidi Bou Said habillés en blanc, tenant un bouquet de jasmin [machmoum] à la main pour effectuer une flash mob en signe de protestation contre la censure qui frappe l’Internet tunisien.
Le Ministère de l’Agriculture, des Ressources Hydrauliques et de la Pêche et la Société nationale d’exploitation de distribution des eaux […]
Mes amis, la démocratie et les Droits de l’Homme sont un long chemin. La Tunisie, comme nous le rappellent les […]
En tant que médecin des hôpitaux publics exerçant à l’hôpital Sahloul de Sousse, j’ai eu à prendre en charge le […]
Depuis plusieurs années , des émanations malodorantes d’égouts viennent déranger mon odorat chaque fois ou je m ‘approche de la […]
Le Festival International du Film Amateur de Kelibia (FIFAK) est décidément un phénomène unique dans notre paysage culturel. On y […]
Posted via nawaat’s posterous
La nervosité du régime depuis les nouvelles “élections” truquées d’Octobre 2009, s’est manifestée par une nouvelle vague de répression contre […]
Ces derniers mois, les grèves se sont multipliées sur le continent. Désormais, les patrons doivent composer avec des partenaires sociaux […]