Vendredi 11 décembre, Béji Caïd Essebsi reçoit au Palais de Carthage les représentants respectifs des deux parlements rivaux libyens de Tripoli et Tobrouk. Le temps d’un discours confus aux abondantes références religieuses et nostalgiques. Mais l’opération com’ de la présidence de la République cache mal un casse-tête loin d’être résolu.
