Constructeur d’avions jusque dans les années 1950, Latécoère connut ses heures de gloire en faisant voler sur ses propres lignes […]
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Communiqué Terrorisme Immigration Police Liberté d'expression Philosophie France Turquie ViolenceLettre ouverte à mes compatriotes musulmans
C’est du rôle des musulmans dans ce pays, la France, et de celui qui façonnera notre avenir commun avec nos compatriotes non-musulmans, que je souhaite ici m’entretenir avec vous. Car j’entraperçois notre avenir commun et j’ai peur de l’horrible tournure qu’il peut prendre.
Des visages, des ONGs et des enjeux : Regard subjectif sur la 6e édition du Forum de la presse arabe.
Au-delà de l’objet même du Forum, c’est aussi une des rares occasions durant lesquelles se réunissent quelques-uns parmi ceux qui ont à cœur le devenir de la profession ainsi que son indépendance. Derrière ce combat pour la liberté de la presse, il y a d’abord des femmes et des hommes, mais également des ONGs qui font un travail forçant le respect depuis des années. Durant ce Forum, les membres de Nawaat ont eu l’occasion d’évoquer, d’une part, les incidences de la situation économique désastreuse de la presse arabe et, d’autre part, la place des nouveaux médias ainsi que le cadre juridique porteur de cette menace permanente, de droit, qui pèse sur les journalistes. Ces derniers pouvant être, à tout moment, privés de leurs libertés sans jamais avoir été condamnés par un tribunal compétent.
Tunisie d’hier, Tunisie d’aujourd’hui. Et si nous étions wahhabisables
14 janvier 2011. Pas tout à fait trois ans et pourtant on dirait une éternité ! Et cette impression se trouve renforcée lorsqu’on met côte à côte les images actuelles de la Tunisie et celles d’hier. Ce qui frappe de prime abord, c’est le changement radical de l’image de la foule, certains diront de « la rue tunisienne ». Alors que jusqu’aux grandes manifestations du 14 janvier 2011, la foule ne se distinguait pas beaucoup d’autres foules
Au temps des catastrophes : terrorisme et violence politique dans la Tunisie postrévolutionnaire
À présent, la violence politique dans la Tunisie postrévolutionnaire accompagne comme un double hideux le progrès de la culture démocratique et elle apparaît comme un réel défi de société. En effet, la violence politique qui s’est déclarée en Tunisie après l’assassinat de Mohamed Brahmi, frappe par son ampleur les observateurs.
L’islam, la philosophie et la liberté
Utiliser une pensée appartenant à une autre “sphère civilisationnelle”, est-ce là un coin qu’on enfoncerait à l’intérieur de la foi musulmane ? Ou plutôt, y-a-t-il un risque flagrant de dénaturer notre propre vision de l’Unicité et des Attributs de Dieu ? Et donc d’une perte chez les musulmans de ce qui fonde leur identité propre ?
Carnets De Tunisie (Partie I)
Tout a commencé par les suites rocambolesques de mon arrivée à l’aéroport de Tunis-Carthage, le 9 août 2013. Ayant loué une voiture (climatisée bien sûr !, la chaleur d’été d’Afrique du Nord pouvant friser l’étouffement), je m’apercevais que le loueur que j’avais sélectionné sur Internet n’avait plus de comptoir depuis fort longtemps.
Violence à l’égard des femmes : un centre d’écoute à Kairouan
La violence à l’encontre des femmes est un phénomène très fort en Tunisie. Il existe peu de mécanismes d’aide. En attendant que l’Etat assure la protection des citoyens la société civile travaille sur le terrain. L’Association Tunisienne des Femmes Démocrates à ouvert au début de l’été un centre d’écoute pour les femmes victimes de violence à Kairouan.
Interview avec Hafida Chekir : La levée des réserves sur la CEDAW n’a pas été notifiée aux Nations Unies
La CEDAW a été ratifié par la Tunisie en 1985 mais des réserves ainsi qu’une déclaration générale y ont été ajouté. Le 16 août 2011 un conseil des ministres adoptait un décret-loi qui levait les réserves. Sauf que cette levée n’a toujours pas été notifié au secrétariat général des NU, comme l’explique Hafida Chekir dans une interview accordée à Nawaat.
Aéroport : Contrôles excessifs sur certaines destinations sensibles
Il y a quelques jours un père de famille se rend à l’aéroport pour accompagner ses filles qui partent en voyage. Un agent de police lui demande de signer des autorisations de quitter le territoire pour ses filles pourtant majeurs. Ce qui semble être une mesure discriminatoire pour les femmes serait en fait un excès de zèle lié à une procédure de surveillance de possible départs en Syrie.
Tunisie : Risques de refoulement d’exilés vers la Libye
Un sauvetage qui pourrait tourner au désastre : près de 300 boat-people sauvés en mer par des pêcheurs tunisiens et […]
Naufrage au large des îles Kerkennah : témoignage d’un des réfugiés
240 réfugiés ont été retrouvés dans les eaux territoriales tunisiennes au large des îles de Kerkennah, après trois jours en mer, durant la nuit du 17 au 18 août. Les rescapés ont été retrouvés dans un état physique et psychologique critique. Parmi ces derniers se trouvent également des femmes et des enfants, dont des nourrissons.