يوم السبت 3 نوفمبر 2012 خرج شابان من “حركة زواولة الفنية” وهما كل من أسامة بو عجيلة وشاهين بالريش في مدينة قابس وقاموا بالتصوير على الحيطان كما جرت العادة في حركتهم .. ولكن الشرطة تفطنت لما يقومان به و كان تدخلها عنيفا على حسب ما ادلى به احد الشابين. .
“احتفالا بذكرى اللاتحول : سهرة فنية بعنوان “هابي وقتاش
انتظم مساء يوم امس الاربعاء 7 نوفمبر 2012 حفل فني تحت عنوان : “هابي وقتاش” و هي تظاهرة موسيقية جاءت في شكل رسالة من الفنانين المشاركين تتزامن مع تاريخ السابع من نوفمبر للقول بان شيئا لم يتغير منذ الثورة الى الان.
للفن مكان …”أمارجي” تجمع للفنانين والمبدعين السوريين…
كَبُرت ساحات المعارضة السياسية السورية..اتسعت وانقسمت فضاقت ..وضاق بها الناس من تجمع للحزبيين إلى منتدى للمعارضين القدامى والجدد إلى مؤتمرات على مدى ما يغلب العام والنصف من صرخة الحرية في سوريا..كان أحد الناجين من الوسخ (الوسط) السياسي ،تجمع “أمارجي” للفنانين والمبدعين السوريين الداعمين لحركة الشارع السوري .
« Yaka Yaka. Org », ou le « Cri » de la Caricature Critique
Révélé à partir d’une rencontre, comme toutes les bonnes initiatives qui naissent sur les frêles lignées du hasard, mais surtout accouché suite à la volonté de quelques personnes, dont « Hasni », du site « Réveil Tunisien », élément perturbateur et subversif pour les consciences frileuses, censuré et piraté pendant l’ère Ben-Alienne
Rentrée artistique 2012 : Entre mutisme et timidité, s’aménage l’épreuve…(II)
Mettre une œuvre sur un mur, c’est essentiellement un acte politique, mais la nouvelle donne, frappante et manifeste, c’est la politisation de l’Art en Tunisie. Son contexte politique, social et culturel touchent et transmutent profondément le corps de métier et le secteur professionnel des galeristes.
Rentrée artistique 2012: Entre mutisme et timidité, s’aménage l’épreuve… (I)
La rentrée artistique 2012 semble déréglée. Inégale, discontinue, elle se fait de manière irrégulière. Dans un silence total, « omerta » inhabituelle, il y a comme de la retenue dans les stratosphères de l’Art. Modération ou bienséance déplacée ? Prudence et/ou pudeur ?
Tunisie : Le ministre de la Culture change d’avis et plaide pour l’abandon des poursuites contre les artistes
Lors de la conférence de presse qui a eu lieu hier 4 septembre, M.Mabrouk a annoncé qu’il soutient entièrement les artistes, que 16 personnes sont poursuivies en justice suite aux actes de violence lors de l’éclatement de l’affaire Abdellia
Les Tunisiens et le « sacré »
Les insultes visant « le sacré » des Musulmans en Tunisie se font de plus en plus dangereuses et menacent désormais la paix et l’unité même de la société Tunisienne et les acquis révolutionnaires. On se rappelle tous, la violence, les émeutes et clashes que les fameux tableaux de l’Ebdelléa. La sensitivité populaire aigu visa vis des œuvres « blasphèmes » et le potentiel du dérapages en Tunisie est donc un fait clair à tous.
Street art in Gafsa: The first victim of Ramadan?
Eighteen months after the popular uprising which put an end to the Ben Ali regime, one of the few tangible signs of this event remains, undeniably, the sense of free speech which it engendered. Graffiti, tags and the different forms expression that can be seen in the art of the streets have come to represent a concrete manifestation of this freedom of speech and thought.
L’art de rue à Gafsa : Première victime du Ramadan ?
Dix-huit mois après le soulèvement populaire qui a mis fin au règne de Ben Ali, l’un des rares signes tangibles de cet événement est incontestablement la libération de la parole. Le Graffiti, le tag et les différentes formes d’expression de l’art de rue ont été une des matérialisations concrètes de cette libération de la parole et de la pensée.
Failles dans la sécurité intérieure : Fuloul, Laarayed et « l’art blasphématoire »
« Derrière ces troubles en Tunisie se trouvent des criminels, des trafiquants de drogue et des extrémistes salafistes », c’est ce qu’a déclaré ce mardi à l’ANC, Ali Larayedh, le ministre de l’Intérieur. M. Larayedh a été invité à s’exprimer devant l’Assemblée…
L’atteinte au sacré, ou la criminalisation de la liberté en Tunisie
Il faut cesser d’envisager la liberté de culte et de conscience dans un rapport croyants/mécréants. Il faut commencer par accepter la liberté au sein-même de l’Islam. Ce n’est que lorsqu’on aura admis qu’un musulman peut forger ses convictions librement et se prévaloir dans la sphère individuelle de ses propres interprétations…
Internal Security Failures: Fuloul, Laraayedh, and “Provocative Art”
“Criminals, drug traffickers, and Salafist extremists are the ones behind the unrest,” Ali Laraayedh, the Tunisian Minister of the Interior, told the Constituent Assembly on Tuesday. The minister was invited to speak to the assembly and answer its questions
Tunisie : Le ministère de la Culture ferme une galerie d’art
Le 12 Juin, le ministère tunisien de la Culture a décidé de fermer temporairement le Palais El-Abdelia, lieu où s’était tenue la cérémonie de clôture du très controversé Printemps des Arts, le dimanche 10 juin. Dans la nuit du 10 juin des islamistes ultra-conservateurs ont attaqué la galerie,…
الحركات الفنية المقاومة و التمرد على جغرافيا المكان : مجموعة ”أهل الكهف“ و ”فني رغما عني“ نموذجا
الواقع ليس مجرد سلطة سياسية تقابلها محاولة سياسية لتغييرها او هيمنة اقتصادية يقابلها بديل اقتصادي اخر ، بل يمكن ان يندرج ضمن رؤية تبحث عن احلال قيم جمالية و اشكال فنية جديدة تتناسب مع هدف الانعتاق و التحرر او لنقل الحرية في مفهوم اعمق و اشمل. رؤية تتحدى السائد تقطع مع الفوقية و النخبوية كجزء لا يتجزء من المجتمع لم تكونها لا طليعة متميزة او متمايزة بل هي وليدة واقعها كحالة يومية مرتبطة بالإنسان.انها فن الشارع هاته الكلمة التي نستقبلها بعد 14 جانفي استقبال الابطال في ادبياتنا و في احاديثنا اليومية.
Tunisie : Quand l’art devient lutte
Il paraît que l’art permet à l’être humain de rêver. Ça c’est pour le premier rôle. L’art est aussi un un baromètre. Il sent la société, perçoit ses mouvements, s’en inspire et donne à voir. Et puis il finit toujours par représenter le monde et surtout par le transformer. C’est que l’artiste doit être précurseur et doit nous faire réfléchir à travers ses œuvres. L’art et la culture doivent nous permettent d’élever notre esprit et notre condition.
Tunisie : Culture et décentralisation culturelle.
Par Amira Chebli – On ne peut pas parler de révolution en Tunisie sans parler de culture et de décentralisation culturelle, parce que la marginalisation qui s’est faite pendant deux dictatures successives n’était pas que économique et sociale mais elle était aussi et surtout culturelle. […]
Tunisie : A quelque chose malheur est bon
Je tiens tout d’abord à préciser que je suis une inconditionnelle des droits de l’homme et des libertés dans leur sens le plus large. Je ne soutiendrai dans aucun cas le projet islamiste.Toutefois, certains raisonnements me laissent perplexe. Je voudrais poser quelques questions aux artistes qui expriment leurs inquiétudes quand à la régression de la liberté d’expression avec l’avènement des islamistes au pouvoir.