En Tunisie, la gestion des aires protégées peut être résumée en une formule simple : clôturer et interdire ! Les interdictions ont d’abord affecté les communautés qui ont l’habitude d’utiliser ces espaces avant leur mise sous protection. Des conflits ont éclaté dans certains sites, mais l’administration a imposé son choix aux populations locales. Il y avait pourtant une chance de parvenir à un compromis, mais cela n’a même pas été tenté.
