Liberté 122

Pass vaccinal en Tunisie : un dilemme éthique et médical

A l’instar de nombreux pays à travers le monde, la Tunisie se dirige vers la mise en place d’un pass vaccinal. Ce pass restreindra l’accès à des espaces publics aux personnes non vaccinées. Actuellement, des millions de Tunisiens risquent d’en subir les conséquences, à commencer par la population âgée de plus de 40 ans. Une telle limitation des droits et libertés est-elle justifiée ?

La politique de la liberté humaine vue par TTN

Liberté, démocratie, bonheur, prospérité, corruption… De plus en plus de thèmes font l’objet d’études quantitatives présentées, annuellement, sous forme de palmarès mondial. Inévitablement, les médias en parlent. Un exercice où les tentatives de vulgarisation glissent, parfois, vers la désinformation. Le journal télévisé de TNN (Tunisia News Network) est tombé dans ce piège, lors de son édition du soir du 30 août, à propos d’un rapport sur « l’indice de la liberté humaine ».

Hkeya #5 : Trop différents ?

« Shams ». Littéralement « soleil ». Tel est le nom improbable d’une association fondée dans la douleur. Certains, dont ses membres diront que celle-ci entend défendre et protéger les droits des homosexuels en Tunisie, d’autres avanceront que « Shams » dit avoir été crée pour la défense des minorités, et ce pour obtenir son visa. Alors, minorités de qui, de quoi ? Au niveau racial, spirituel, génital, sexuel, organique, physique, ce terme est bien trop large et bien trop généraliste.

Hkeya #2 : Farouches ennemis de « Mère Liberté  »

Depuis bientôt deux semaines, deux sombres actualités ont remis à l’ordre du jour les valeurs humanistes de cette lointaine idée du droit à la liberté. Deux histoires sans lien apparent sont venues se télescoper autour de ce noyau dur qu’est le droit à tout un chacun d’agir en son âme et conscience pour sa liberté tout en respectant celles d’autrui sans jamais lui nuire.

L’affaire Yassine Ayari révèle une faille juridique

Dans la soirée du mercredi 24 décembre, Yassine Ayari a été arrêté, à son arrivée à l’aéroport de Tunis-Carthage, et transféré en centre de détention. Cette arrestation fait suite à sa condamnation par contumace à 3 ans de prison, le 18 novembre 2014, – il était alors à Paris – par le tribunal militaire permanent de première instance de Tunis.

Trois questions au candidat Béji Caïd Essebsi

C’est un florilège que je soumets à votre attention en espérant de vous, contrairement à votre rival pour la présidentielle, une réponse de nature à servir ces valeurs et dans le même temps l’attente des Tunisiens dont notamment les plus jeunes qui ne se sentent pas concernées par une politique snobant leurs revendications.

Trois questions au candidat Moncef Marzouki

Aujourd’hui, vous persistez et signez au nom de valeurs que vous n’avez cessé de violer. En voici donc un florilège que je vous rappelle pour le cas où vous les auriez oubliés ou que vous auriez à nouveau changé d’avis à leur propos, vous ayant connu par trop erratique dans vos professions de foi.

Suspension de 157 associations : quand Mehdi Jomaa préfère les lois liberticides au détriment de la justice

En agissant de la sorte, Mehdi Jomaa et sa cellule de crise, retombent dans les travées d’un passé récent au cours duquel la présomption a force d’accusation. Pire encore, la loi liberticide de 1975 utilisée ici nous rappelle encore une fois combien les bribes du passé peuvent être vivaces et leur utilisation, oh combien dommageable pour notre processus démocratique en bas âge au sein duquel l’appareil judiciaire, force vive de toute démocratie, est malgré lui mis en retrait.

Mesh Sayada : entre fantasme et réalité

Dans un article paru sur le New York Times du 20 avril, sous le titre « US promotes networks to foil digital spying », Sayada est mise à l’honneur comme la première ville tunisienne à se doter d’un réseau communautaire sans fil (WIFI) local gratuit pour tous. Ce projet pilote appelé « Mesh Sayada » permet aux habitants de se connecter à un serveur local hébergeant des services libres d’accès aux quelques 14000 habitants de cette ville côtière.

Hollande ou Sarko ? A vous de choisir…

Le choix entre Hollande et “Sarko” doit rester libre au sein de la communauté musulmane de France, du moins dans un hypothétique deuxième tour les voyant aux prises en 2017, une fois que seront défaits les divers partis du premier tour dont, nous l’espérons en majorité, le Front national.

L’islam, la philosophie et la liberté

Utiliser une pensée appartenant à une autre “sphère civilisationnelle”, est-ce là un coin qu’on enfoncerait à l’intérieur de la foi musulmane ? Ou plutôt, y-a-t-il un risque flagrant de dénaturer notre propre vision de l’Unicité et des Attributs de Dieu ? Et donc d’une perte chez les musulmans de ce qui fonde leur identité propre ?

Rompons le silence assourdissant entre islamistes et modernistes et inventons une nouvelle démocratie (3ème partie)

Assez déjà il à été parlé de liberté politique, de liberté de poursuite juridique arbitraire et des limites de la liberté. À mon avis il devient grand temps d’aborder ces aspects de la liberté auxquels tout le monde pense mais que peu jugent être sage d’articuler publiquement. Permettez-moi dans ce sens de lancer tout de suite au début quelques questions sur la scène pour y réfléchir ensemble

La troisième voie

C’est la voie de ceux et celles qui veulent vivre dans une société ouverte et tolérante où chacun aurait sa place. C’est la voie de l’avenir sur et un passé obsolète. C’est la voie de la lumière sur l’obscurité. Et elle triomphera.

Une question de dignité et de liberté !

Le premier évènement s’est déroulé dans une région pauvre de l’intérieur et les tunisiens l’ont reconnu comme un appel pour la dignité. Le deuxième évènement s’est déroulé dans la capitale et a cristallisé une aspiration pour la liberté traduite par la fuite du dictateur. Ainsi, la dignité et la liberté sont symboliquement restaurées au moins en apparence.