Opposition 174

Case study : Gouvernement tunisien en exil.

Sahha tlm, les tunisiens et le facteur mono consiste presque d’une histoire d’amour. D’ailleurs si bourguiba laa tarhamlou 3dhaam a réussi quelque chose, ça serait à mon avis en premier lieu l’injection de l’ésprit monoiste chez les tunisiens, faute de sa monotes…que Dieu me pardonne. En tout cas c’est la monotonie par exélence qui détérmine notre mode […].

La table démocratique du docteur Marzouki

Dans la soirée d’hier samedi 22 août 2004, le docteur Moncef Marzouki était de nouveau sur le « Paltalk » pour parler de sa conception de la démocratie, ou plutôt de l’arrivée de la démocratie, comme forme de pouvoir, pour gouverner la Tunisie. Toujours fidèle à lui-même, le docteur a brièvement lancé quelques flèches au régime actuel, promettant […].

Du narcissisme des dictateurs à la folie des grandeurs

La folie des grandeurs – d’après René Magritte Le narcissisme est un trouble psychiatrique caractérisé par une surestimation de soi et de ses capacités, un sentiment d’être unique, un besoin d’être reconnu comme exceptionnel et une critique mal vécue. Tous ces défauts on les rencontre chez Ben Ali, Kaddafi, Moubarek, Bush, Sharon, Castro, Poutine, on le […].

Peut-on réformer l’islam de l’intérieur ?

A propos de Shahrour Mohamed : Dirassat Islamiya Mu’açira Fi ad-Dawla wa al-Mujtama’ (Etudes islamiques contemporaines sur l’État et la société) Damas : Al-Ahali, 1994. Parmi les rares chercheurs modernes qui se sont directement intéressés au texte coranique, le syrien Mohamed Shahrour a tenté dans son dernier ouvrage de proposer une lecture qui se veu […].

« Madame douce France » n’existe pas non plus !

Immigration, islam et politique : recentrer l’analyse sur le rapport dominant/dominé Depuis la rentrée 2004, nous constatons de multiples critiques du discours de Tariq Ramadan et de son entourage militant, qu’on peut résumer (trop) rapidement au réseau Présence Musulmane. Ces critiques sont inscrites dans un contexte précis, celui de la diabolisation de […].

Le sens de mon boycott des élections du 24 octobre 2004

Sur quoi s’appuie le régime de Ben Ali ? Principalement sur deux éléments : une répression féroce s’appuyant sur une armée de 130000 policiers et une vitrine démocratique fabriquée de toutes pièces grâce à des opposants nommés par le maître de Carthage. I.- Le sens politique du boycott : le rejet d’une mascarade électorale et de ses acteurs. Sur quoi s’ […].

Changeons l’avenir en nous transformant nous-mêmes

Salam , Nous vivons chaque jour davantage combien l’injustice est douloureuse, humiliante, entravante, révoltante et castratrice. Salam , Nous vivons chaque jour davantage combien l’injustice est douloureuse, humiliante, entravante, révoltante et castratrice. Transformons notre souffrance en gain, en prenant la ferme résolution de toujours respecter no […].

Elections tunisiennes

E : exécution sommaire de toute histoire d’amour et sans aucun recours, de toute voix libre, de toute opinion discordante, de toute critique et de tout espoir de vie. L : liberté ! tu es où ? tu as quel goût ? les enfants naissent dans les choux ?j’aimerais aussi t’écrire sur mes cahiers d’écoliers , sur mon pupitre en formica , sur les faces de rats qui […].

Le radeau de la Méduse

La théorie des chaises musicales d’un nouvel ordre, ou désordre international, l’histoire comme à ses habitudes fera les comptes ; c’est-à-dire l’obligation réaliste et pragmatique d’une alliance d’intérêts qui se transformera en alliance stratégique pour défaire la dictature tunisienne me semble à tout point incohérente, naïve, puérile et désuète. La th […].

Docteur Marzouki : Votez pour moi, votre futur roi !

Citoyens, citoyennes : votez pour moi ! Je vous promets liberté sans désarroi, Choisissez la ligne 2, docteur Marzouki. Une fois élu, il se peut, je change d’avis Possible je me couronne Grand Roi à vie Ça a été fait avant et ça a très bien réussi Donc vous pouvez rien faire, sauf dire merci Dépêchez vous, ma parole est une garantie. Votez, .. votez…., v […].

Que peut-on apprendre des révolutions des roses ?

La mascarade électorale du 24 octobre 2004, ses conséquences sur la scène politique tunisienne, le piège de « la libération » des prisonniers politique islamistes et ses séquelles dans les rangs d’Annahdha : tous ces événements et non événements ont coïncidé avec les spectacles de la victoire de l’opposition ukrainienne rapportée par des médias q […].

Les roses, seraient-elles fades ?

Cette réponse constitue une réaction à l’article « Que peut-on apprendre des révolutions des roses ? » ainsi qu’à certains échanges qui ont eu lieu sur le forum de Nawaat.org par la suite. Pour commencer, je tiens à remercier Sami pour ce texte fort intéressant et pour le débat que suscite l’article en question. Toutefois, si je suis d’accord […].

Lettre ouverte à Moncef Marzouki

Le degré de frustration, que ce soit sur le net ou autre part dont parle Moncef Marzouki, a atteint son paroxysme depuis longtemps, y compris et surtout dans la classe politique qui souvent se cherche des repères dans la surenchère et même dans la forfaiture, voire des fois dans la maladresse comme l’affaire de Moncef Marzouki sur Nawaat ou même cet appel […].

De la vraie et de la fausse opposition de décor

Dans la masse des commentaires et des réactions suscités par les résultats des « élections » du 24 octobre dernier, plusieurs positions se sont dégagées. J’aimerai ici réagir au texte de Sihem Ben Sedrine vu le ton autoritaire qu’il emprunte et l’idée fantaisiste qu’il œuvre à imposer sur la nature du débat post 24 octobre.

Dissidence

الشنقة مع الجماعة خلاعة « Crever avec les autres est une partie de plaisir » si j’ose traduire ce dicton tunisien. Cela veut dire que le Tunisien ne laissera pas tomber la foule et que le courage à la tunisienne se crée s’il y a une masse populaire. Les élections de Novembre 2004 passées, nous voilà retrouver en face d’un déjà-vu, une situation […].

Indépendance et liberté – I –

Pourquoi, actuellement, et dans plusieurs coins du monde arabo-musulman et africain des voix s’élèvent pour solliciter les interventions étrangères ou, dans les meilleurs des cas, les légitimer ? Est-ce que les puissances mondiales sont moins cruelles que nos dictateurs ou s’agit-il là d’une autre idée extravagante que nos fantasmes politiques avaient for […].