Par Zein Abdelkefi, De la fin d’un système A l’« actif » des dictatures, le développement des pays : Amérique […]

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À quoi bon en vouloir au gouvernement quand nous savons très bien qu’il s’en fout complètement des droits des martyrs […]
J’ai laissé derrière moi, ma femme et mes enfants, En pensant que demain pour eux sera meilleur. De ma tombe […]
Le terrorisme intellectuel est une pratique qui vise à intimider une catégorie de gens, groupe ethnique ou social ou une personne, pour empêcher la formulation d’idées qu’on considère comme gênantes.
Facebook est l’un des espaces de lutte médiatique et un outil de communication les plus mobilisés par les partis politiques tunisiens. Ceci peut s’expliquer en outre par la forte pénétration dont il dispose parmi la communauté tunisienne.
Par Sami Ben Younes – Nous, Tunisiens, condamnons : Zine El Abidine Ben Ali, à la peine capitale pour homicide volontaire, haute trahison, abus de pouvoir, expropriation de biens publics et prives, torture, détentions de drogues et d’arme, vols et complicités de vols, corruption, menaces, abandon de l’état, crimes financiers.
Qui est Fares Mabrouk ? Son nom est souvent cité dans les médias, mais on ne voit pas souvent la personne répondre à des propos tenus à son encontre. Il est un des rares hommes d’affaires tunisiens à tenir son propre blog. Il est aussi l’un des co-fondateurs de “Afkar Mostakella” dont l’objectif est d’influer sur la vie politique tunisienne. De par son lien de parenté avec Marouane Mabrouk, il est aussi l’une de ses personnalités qui suscite le plus d’interrogations.
Circonscrite depuis des décennies dans une posture identitaire monochrome, par habitude, commodité ou absence de remise en question, la société tunisienne postrévolutionnaire se trouve, une nouvelle fois depuis l’indépendance, confrontée à des débats et des enjeux qu’elle n’a pas su soulever et traiter adéquatement jusque-là.
Derriére un écran de verre, j’ai suivi une à une les heures qui ont fait ton Histoire. J’ai vu les […]
Roger Naba’a | 18.08.2011 | Beyrouth Quatre sujets reviennent régulièrement dans les médias qui couvrent le Printemps arabe. Si les […]
Finalement, Beji Caïd Essebsi, premier ministre du gouvernement de transition s’est décidé à répondre aux critiques émises contre le gouvernement […]
C’est un véritable vent de révolte qui traverse aujourd’hui toute la Tunisie. Alors que l’élite bourguibienne alliée au système judiciaire […]
Depuis le 14 janvier, il y a eu rupture totale entre le Ministère de l’Intérieur et une bonne partie des […]
Ce vendredi 12 août 2011, j’aurais pu être à Montreux, en Suisse, pour défendre les couleurs de mon pays aux 40è championnats du monde de scrabble francophone ou, à défaut, chez mon frère à fêter l’anniversaire de ma nièce. Le ministère de l’injustice et celui de la torture morale et physique en ont décidé autrement. Ils se sont ligués contre moi pour me faire découvrir l’enfer d’un pays que j’aime beaucoup sans avoir jamais aimé ses dirigeants, 55 ans durant.
D’abord, il y a eu la déconstruction du symbole Bouazizi…Toutes sortes de manœuvres tendant à discréditer la personne post mortem. Pendant des semaines, on nous a seriné toutes sortes d’hypothèses, plus ou moins vérifiables, mais toutes destinées à ‘démystifier’ l’acte fondateur de la Révolution. Il n’était qu’un simple voyou qui passait son temps à se saouler, Fadia ne l’a jamais giflé, il l’aurait même insultée, voire agressée physiquement, il n’a jamais eu de diplôme universitaire et j’en passe.