On aime à présenter la Tunisie comme une nation ayant misé sur ses hommes, à défaut d’avoir du pétrole ou […]

On aime à présenter la Tunisie comme une nation ayant misé sur ses hommes, à défaut d’avoir du pétrole ou […]
Par Al Karawen – Ennahdha est à priori classée première dans la plupart des sondages politiques sur Internet [professionnels et amateurs], c’est le parti qui remplit les tribunes dans pratiquement n’importe quelle ville tunisienne et celui qui dispose – selon ses détracteurs du réseau de communication le mieux implanté dans toutes les tranches de la population. En quoi alors il a intérêt à provoquer un chaos qui risque de retarder des élections qui vont peut-être le donner gagnant ?
Il est temps que nous commencions à nous éveiller à la réalité du fait politique. Ou alors nous nous condamnons à n’être que des chiens qui aboieront éternellement après la caravane du pouvoir à chaque fois qu’elle passera sous nos yeux.
« Le silence de Dieu permet le bavardage de ses ministres », nous dit Michel Onfray. Nous Tunisiens, avons une preuve locale. […]
Le Haut Comité pour la Protection de la Révolution Tunisienne (HCPRT) travaille à la mise en place d’un nouveau mode […]
L’association était très attendue par la communauté juive tunisienne car elle permet de transmettre l’ensemble du patrimoine culturel de cette minorité qui aujourd’hui s’inquiète de la perte à terme de son identité judéo-tunisienne.
Sarhane Hichri – Pour moi, l’image des femmes c’est celle de ma mère qui m’a mis au monde et m’a élevé avec amour et attention. Celle de ma femme qui me donne l’occasion de vivre ma vie d’homme, de partager mes joies et mes peines, de construire une famille et d’élever des enfants. Celle de ma fille qui me procure les plus belles émotions qu’il me sera permis de vivre sur cette terre. Celle des mes grands-mères et de mes tantes qui m’ont transmis une identité familiale, une culture ancestrale, des croyances religieuses, des traditions
En lisant la question, la réponse est à priori oui, il y a une liberté d’expression dans le pays. Mais cela veut-il dire qu’on a vraiment compris le sens de la liberté d’expression. On n’en est pas tout à fait certain. L’article ne prétend pas chercher des réponses philosophiques, sociologiques ou psychologiques. Il part tout simplement de la réalité, de ce qu’on lit et écrit, des différents médias, des réseaux sociaux et de communication.
L’attaque du cinéma AfricArt le dimanche 26 juin 2011 est inqualifiable et l’agression de son directeur Habib Belhedi est un acte grave contre l’un des actants de la vie culturelle tunisienne des plus actifs. Ce qui aggrave ces actes c’est l’indifférence ambiante et l’impunité la plus totale dans laquelle ce déroule ce vandalisme et cette sauvagerie. Nous sommes en danger, nous commençons la mutation. Réactions éparses : quelques politiques condamnent timidement, d’autres accusent les organisateurs de provocation. Déjà en panne de praxis culturelle le ministère de tutelle regrette du bout des lèvres. Quelle hypocrisie générale !!!
J’ai ouvert le pc, je me suis connectée, j’ai vu une vidéo, un homme, un barbu, se moquant de moi, oui de moi, me pointant du doigt, moi et mes semblables, pourquoi ? Quel est mon crime ? On me condamne parce que je travaille dans l’administration publique, on me dit qu’il faut que j’arrive au bout de mes huit heures journalières, on s’en fout de mon identité musulmane et fière, on me dit qu’il faut pas faire la prière au boulot, sous prétexte qu’il faut séparer le religieux du civil, on me dit que la religion c’est pour Dieu et la patrie pour tous
Par Wafa El Abed – Je ne connais pas Nadia el Fani, je n ai aucun rapport avec elle. Je suis musulmane pratiquante et très fière de l’être. Aujourd’hui, comme la majorité d’entre nous, je suis vexée, choquée, extenuée voire même anéantie par l’état de provocation qui perdure une fois que le calme règne, ce que j’estime planifié et prémédité.
Les infos télévisées ,et encore plus de destructions en Libye .Un rebelle libyen, avec la jambe en plâtre , tenant un fusil, et incapable de courir normalement, fuit les chars de Gaddafi en boitant .Cette scène n’était pas la première du genre déjà ,et ne sera probablement pas la dernière . Lorsqu’ on voit ça on ne peut s’empêcher d’ être empli d’admiration et de respect face à tant de volonté et de courage : être blessé , mais continuer à se battre quand même.