La chute du régime de Zine el Abidine Ben Ali a permis aux internautes tunisiens de profiter d’une période d’accès libre à Internet, ce après que l’Agence Tunisienne d’Internet (ATI) ait désactivé ses machines de filtrage.

La chute du régime de Zine el Abidine Ben Ali a permis aux internautes tunisiens de profiter d’une période d’accès libre à Internet, ce après que l’Agence Tunisienne d’Internet (ATI) ait désactivé ses machines de filtrage.
Parallèlement à la vague de froid sans précédent qui sévit depuis quelques jours sur notre cher pays, il semblerait que le phénomène d’intoxication médiatique ait également pris une ampleur sans précédent […]
صدر مؤخرا بيان عن حركة التجديد و حزب العمل التونسي و “القطب الديمقراطي الحداثي” يعلن عزمهم على تكوين حزب واحد يضمهم و تم برمجة ندوة صحفية في الغرض ليوم الخميس 9 فيفري 2012على الساعة الحادية عشر صباحا …مما أدى إلى تفجير الاوضاع بالنسبة للبعض و الذين يمثلون بقية مكونات القطب الديمقراطي الحداثي مستنكرين من جهة اتفاق حركة التجديد مع طرف سياسي هي في نهاية المطاف مكون من مكوناته
Lors d’un congrès à Barcelone organisé par l’Institut européen de la Méditerranée, on a rencontré Mohammad Pournik, un iranien travaillant en tant que chef du groupe de lutte contre la pauvreté aux Nations Unies. Il nous a fait savoir qu’il a été à Tunis au mois de février 2011, à peine quelques semaines après la chute de Ben Ali.
« En 2011 à Tunis, je me sentais à Téhéran en 1980 » nous a-t-il dit. Quels points communs existent-ils entre Tunis en 2011 et Téhéran en 1980 ? Réponse en image
As one of 166 observers from the Arab League in Syria, we interviewed Ahmed Manaï, former UN international expert, militant for a democratic Tunisia and author of “Tunisian torture – The Secret Garden General Ben Ali.”
La Tunisie, le pays qui a fait la révolution de la dignité bouleversant ainsi l’ordre politique dans plusieurs dictatures, a été le premier gouvernement à renvoyer l’ambassadeur syrien et à couper toute relation avec la Syrie d’Al Assad. Le monde arabe a applaudi cette « décision » de notre chef d’Etat provisoire, ceci contrairement à d’autres avis internationaux et surtout nationaux, pour lesquels ce fut une décision «prise dans la précipitation ».[…]
Etant l’un des 166 observateurs envoyés par la Ligue arabe en Syrie, on a interviewé Ahmed Manaï, ancien expert international auprès de l’ONU, militant en faveur d’une démocratisation de la Tunisie et auteur de « Supplice Tunisien – Le jardin secret du général Ben Ali ». Selon lui la décision de renvoi de l’ambassadeur émane non pas du Président Marzouki mais du chef du parti islamiste Rached Ghannouchi.
Chassés par la grande porte, ils reviennent par la petite fenêtre. Ils ne sont plus RCDist, mais destouriens et bourguibistes. En fait ils ne sont ni les uns ni les autres. Les destouriens étymologiquement les personnes attachées au Destour, à la constitution : la loi fondamentale qui organise les pouvoirs et garantit les libertés fondamentales subsidiairement les personnes adhérents au parti qui lutte pour le recouvrement de la souveraineté nationale en partant de son attachement au Pacte Fondamental de 1857. […]
Par Linda Ben Osman La décision de virer l’ambassadeur syrien émane, selon le premier ministre provisoire Hamadi Jebali, du peuple […]
Rencontre improvisée avec des habitants du quartier de « Sariaa » (Rapide). Un quartier qui héberge principalement des familles semi-nomades qui ne restaient jamais longtemps sur place.[…]
Alors que l’ATI essaye de casser cette image de censeur du web, différentes interrogations voient le jour quant au rôle de l’Agence dans la Tunisie post-révolution, à l’avenir du matériel de censure et aux défis d’Internet dans le pays […]
Après avoir mis en place avec succès les instances politiques du pays, à savoir la Présidence de la République, le gouvernement et l’organisation interne de l’assemblée constituante, les élus du peuple commenceront bientôt la rédaction de la constitution de la deuxième République. L’article 1 sera immanquablement le premier sujet lancé au débat et suscitera sans aucun doute beaucoup de divergences, de déchirements et de polémiques.
Depuis le 14 janvier 2011, le discours politique des uns et des autres vénère le « peuple » Tunisien et maudit le président Ben Ali et les trabelsi. Le « peuple » tunisien serait donc un « grand peuple » et personne n’oserait dire le contraire. Au risque de choquer certains, osons quelques remarques à ce propos : Ben Ali a gouverné 23 ans avec les tunisiens. Il n’a donc, pas importé un peuple. Combien de personnes parmi les 11 millions, que nous sommes, n’ont pas composé avec le système Ben Ali ? Combien ont remit actuellement en cause leur comportement ?