« Les familles aisées bénéficient en moyenne d’une subvention de 89 dinars par individu, contre 68 dinars pour les familles pauvres », déclare le rapporteur de la commission des finances au parlement. Sauf que malgré ses dérapages et ses dysfonctionnements, « la compensation est la pièce maîtresse » du modèle économique tunisien, souligne l’économiste Abdeljalil Bedoui.
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