مساندة طلبة سوسة لسيدي بوزيد
مساندة طلبة سوسة لسيدي بوزيد
In order to have an “American” perspective on the Tunileaks affair, Nawaat invited Rob Prince to share his thoughts on the leaked diplomatic cables from the US embassy in Tunisia. Rob Prince is a Lecture of International Studies at the Josef Korbel School of International Studies, University of Denver. Rob served as a Peace Corps Volunteer and Staff Member in Tunis and Sousse. For more insight into Rob Prince thoughts on Tunisia, please listen to his interview with the KGNU Radio – Hemispheres about the human rights situation in our country. In this interview, we asked professor Rob about his first impression after reading the diplomatic cables; the state of the “institutionalized corruption” in the country and the consequence of these leaks on the US-Tunisia relationship; and how the Tunisian civil society, the opposition and the Tunisian online citizen media initiatives can use the leaks in their favor and push for a real change.
Le diplomate américain accrédité à Tunis n’épargna aucun effort pour lever un coin de voile sur les véritables raisons qui ont conduit à la chute et à la disgrâce de l’ex première dame de Palestine. Mais ses investigations n’aboutirent à aucun résultat définitif, Ses soupçons se portèrent néanmoins sur la personne de Leila Ben Ali, 53 ans, épouse du président tunisien Zine El Abidine Ben Ali, 74 ans, qui s’est fâchée, raconte-t-on, contre Souha à cause d’une indiscrétion qui a aurait permis à la reine de Jordanie Rania d’être au courant des préparatifs de Leila pour célébrer les noces stratégiques d’une de ses nièces avec un conjoint de quarante ans son ainé. […]
Vous savez mes amis combien j’aime les animaux et les insectes. Des flamants roses, aux grenouilles, des éléphants aux vaches […]
Voici encore un extrait de ce qui se dit et s’écrit sur les médias autorisés de notre pays. Des animateurs et chroniqueurs qui n’ont jamais entendu parler de la Tunisie et de son président et encore moins d’une ambassade US. […]
Au sein de l’opposition s’élèvent des voix ne concevant la solution à la crise politique actuelle sans l’affaiblissement du RCD voire sa neutralisation, pure et simple. Le fardeau, assez lourd, des expériences antérieures, parfois dramatiques, ne peut en soi légitimer la simplification de l’alternative, qui devrait être consensuelle, dans le rejet d’une composante majeure de la scène politique tunisienne de la taille du RCD.
THE government of Tunisia must do more to uphold human rights and the rule of law and to allow political […]
Il est des exercices on ne peut plus précieux pour la garantie de la pérennité d’une action et la dynamique […]
نظرا لكون قضايا البيئة أصبحت تشكل تحدي العصر ، قامت مجموعة من النشطاء في المجتمع المدني ، بعد نقاشات طويلة […]
Pétition des dirigeants des partis démocratiques et de la société civile en Tunisie « Première liste » Conscient du défi que pose […]
[…] Le recours à cette politique de déstabilisation de la société civile et de l’opposition est le résultat de plusieurs situations, principalement trois. Premièrement : la faiblesse de l’adhésion populaire à la politique du pouvoir, malgré le tapage médiatique du parti hégémonique «Ettajamô Eddoustouri » […]
Pour prendre l’exemple du blog collectif de Nawaat, nous ne sommes, tel qu’indiqué dans « l’à propos de blog », […]
Nous enchaînons aujourd’hui sur la 2e et la 3e parties du documentaire réalisé par Selim Ben Hassen et l’Association des […]
Comme nous l’avons annoncé la semaine dernière, Selim Ben Hassen a choisi Nawaat.org pour diffuser, en exclusivité, un documentaire de […]