Par Fairouz Boudali Lorsque je vois une émission à la télé, ou un documentaire sur le monde agricole ou tout […]

Par Fairouz Boudali Lorsque je vois une émission à la télé, ou un documentaire sur le monde agricole ou tout […]
La Tunisie de l’après 14 janvier passe indéniablement par une situation d’ébullition. En plus du rôle que peuvent jouer Internet et les Réseaux sociaux et de communication et la presse écrite, les chaînes de télévision doivent jouer un rôle important pour aider et accompagner la Révolution, afin d’éviter un dangereux vide médiatique. Cela a été un peu le cas en Tunisie pendant les premiers jours de la Révolution. Toutefois, l’Egypte a par exemple réussi cela, car il y a dans ce pays une tradition médiatique, la plus importante dans le Monde arabe. Dès les premiers jours de la Révolution égyptienne, une importante et riche matière médiatique a vu le jour : émissions, débats, chansons patriotiques…alors qu’en Tunisie, on a eu un peu de mal à trouver cette matière.
Par Ahmed Ben Mustapha – Féthi Ben Hammouda en raison de ses articles diffamatoires parus à mon encontre, je vous adresse cette mise au point que je vous prie de publier afin de rétablir la vérité auprès de vos lecteurs sur les points me concernant qui ont été évoqués dans cette réponse . Je signale aux lecteurs que ce texte a été également adressé à M Bahloul qui a refusé de le publier dans son intégralité me proposant une autre version censurée inacceptable pour moi car expurgée de l’essentiel de ma réponse aux contrevérités reprises à mon sujet ainsi qu’au sujet de mon épouse.
La longue liste des martyrs tunisiens s’est allongée ce mercredi 18 mai 2011 avec la mort, au champ d’honneur, du […]
Par Mohamed Ali bejaoui. D’abord honneur et gloire aux martyrs de notre armée et tous les martyrs de notre révolution. […]
Par Sarah Ben Hamadi – Quatre mois après la fuite de Ben Ali, les choses ont certes évolué, mais le flou persiste encore. Et il semblerait qu’on vit dans une phase où la manipulation des foules tend à devenir une logique sociale malsaine […]
Après les déclarations bouleversantes et graves de Mr. Rajhi postées sur Facebook, et l’émoi qu’elles ont suscité auprès des citoyens, […]
Par Bessem Ben Salem – Le 7 mars 2011 le gouvernement de transition a annoncé le suppression de la police politique et de l’appareil de sécurité d’Etat, hérités de l’ère de zaba, et cette nouvelle a été accueillie avec beaucoup de satisfaction par tous les tunisiens libres, qui sont tombés ou risqueraient un jour de tomber entre les mâchoires de ces deux ogres d’un ancien temps, qui symbolisent la torture en Tunisie.
Pour mémoire, voici un extrait de la dernière prestation de Borhane Bsaïs sur Al-Jazeera. C’était quelques jours avant la fuite de celui que ledit Bohtane défendait avec tant d’ardeur. C’est curieux du reste, à quel point Faïçal El-Kacem semblait si proche des Tunisiens malgré la distance, alors que ledit Blaïs, pourtant vivant parmi eux, fut dans la négation totale du drame tunisien, malgré le nombre déjà important des victimes. C’était le dernier acte d’un opportuniste des plus zélés !
Depuis le 14 Janvier 2011 les faits sur le terrain indiquent que le noyau dur du régime de Ben Ali est encore au pouvoir, mimétisé dans les coulisses, traitant la Tunisie comme un laboratoire pour ces expériences d’opérations psychologiques afin de trouver la bonne dose de peur, de tension et de confusion qui permetterait à ce régime de survivre !
Le Système médiatique de Abdelwaheb Abadallah avait ses propagandistes mais aussi ses indicateurs de police déguisés en universitaires. L’auteur du document est aujourd’hui professeur à l’institut de presse (IPSI) et membre de la commission doctorale en sciences de l’information et de la communication.
Par Ali Gargouri Le journalisme en Tunisie était pendant près d’un quart de siècle, et tout au long de l’ère […]