Par Oussama Ketatni Une minorité scande, des suiveurs inconscients les supportent. Un gouvernement affaibli se retrouve à jouer aux chaises […]

Par Oussama Ketatni Une minorité scande, des suiveurs inconscients les supportent. Un gouvernement affaibli se retrouve à jouer aux chaises […]
Par Mehdi Khodjet El Khil La dette extérieure de la Tunisie s’élève à 19,9 milliards d’euros(€) en2010 et 20.2 milliards […]
Par Mustapha Kamal C’est à peine croyable que ces gens là, avec un passé benaliste, chargé puissent dominer la Commission […]
Le délit d’initié est un délit réalisé sur les marchés financiers(bourse) commis par des personnes ayant acheté ou vendu des valeurs mobilières suite à des informations privilégiées non connues des autres personnes. Il engendre évidemment un enrichissement personnel rapide et facile via des gains boursiers (plus-values boursières).
Par Fawziya Mohamed – Nous allons donner quelques précisions sur les membres qui composent la commission tunisienne sur la Réforme, notamment sur son Président Yadh Ben Achour, sur Slim Laghmani, sur Rafaa Ben Achour, Horchani, etc. D’abord, en juillet 1990, Yadh Ben Achour avait été élevé par Ben Ali au grade de Commandeur de l’Ordre de la République, une haute distinction offerte par Ben Ali à Yadh Ben Achour.
Par Farouk Ben Miled – Le transport ferroviaire consomme à peine 3% de pétrole, contre 85% pour la route, alors que celle-ci accapare l’essentiel du transport du fret et des voyageurs, minéralier non compris, le calcul est vite fait. Reconsidérer le transport dans son ensemble devient d’une nécessité nationale.
Par Taha Ben Khoud – Je voulais en tant que citoyen Tunisien me prononcer sur ce volet économique qui s’associe aux decisions et philosophies politiques d’un Etat juste envers ces citoyens.
Par Des lecteurs indignés – Réponse à l’article de Alya Hamza, injurieux pour la révolution, paru dans « La Presse de Tunisie » lundi 21 février 2011, en page 7, sous le titre « maintenant, ça suffit ! » : On croyait la mercenaire de la plume bien connue, Alya Hamza, à jamais disparue de la scène médiatique avec ses maîtres sanguinaires Leila et Zine El Abidine Ben Ali. Et voilà qu’elle a le cynisme de reparaître dans la Presse du 21 février …
Par Mehdi M’ribah – Il ya quelques jours, un ami me disait : « Ben Ali me manque déjà… Qui vais-je insulter maintenant ? A qui vais-je en vouloir ? Il est un peu malade en plus, il ne faut pas qu’il meurt….Et puis su ‘est ce qu’on s’en fout ! »
Par Yasmine – Si je me permet de vous écrire aujourd’hui, c’est parce, comme vous, lors de votre lettre d’excuses publiée sur votre page facebook « j’estime qu’il est important de sortir des polémiques, » mais auparavant, quelques éclaircissements s’imposent.
Par Takis Fotopoulos – En Egypte et en Tunisie, l’impensable s’est produit. Pour la première fois les pays arabes ont réussi à déraciner des régimes impitoyable et despotiques soutenus par l’élite transnationale, par des insurrections, et non pas, comme d’habitude, par coups d’État. Tout a commencé en Tunisie, où son peuple a été le premier dans le monde arabe à descendre dans la rue et renverser un dictateur efficace.
Par Amjad Zed – Le fou sanguinaire qui, sentant sa chute inéluctable, prochaine, agite depuis deux jours, le spectre la scission du pays, trahit en fait ses intimes pensées, lui qui a habitué le monde entier à l’étalage de son vide intérieur, sans aucune retenue, comme aujourd’hui il exhibe sa haine.
Par Assim – Chose qui interpelle ces derniers jours est la recrudescence des interrogations concernant la laïcité en Tunisie. […]
Par Hatem Bennour – Nous n’avons pas le temps pour élire une assemblée constituante en Tunisie. D’ailleurs, je ne vois pas comment, elle pourrait se faire élire, qui pourrait se présenter et comment vont se faire les élections. Est ce qu’on va avoir le choix entre 10 ou 1000 personnes, 10 c’est gérable, 1000 non.
Par Youssef Ben Miled Mettre en place la sécurité Plus de prières dans la rue, fermer les portes des mosquées […]
Par Khaznagi Larbi – A lire les articles et à entendre les discussions, je reste tout à fait étonné de constater que nombreux sont ceux qui font remonter le début de la dictature, sous laquelle croulait notre pays, à la prise du pouvoir par Ben Ali. J’avais seize ans en 1956, l’année de l’indépendance. Et depuis, je n’ai jamais vécu sous un régime de liberté dans mon pays, jusqu’au soir du 14 janvier 2011. Alors pourquoi occulter cette période d’absolutisme sous Bourguiba, qui n’a jamais été un démocrate ?
Aujourd’hui, le gouvernement vient de faire une faute grave, une faute très grave. Aujourd’hui plus que jamais, le temps n’est plus à la réflexion angélique, le temps est à la rupture.