L’état d’instabilité et de décomposition totale de l’ensemble de la classe politique tunisienne, (à part le parti islamiste Ennahdha), complique un peu plus le très difficile processus de transition démocratique en cours. Les bouleversements récents et continus au sein des partis et des blocs parlementaires annoncent une transformation imminente et imprévisible de la scène politique nationale. Ce qui pourrait devenir une donnée importante et déterminante dans toute entreprise de changement à venir. On le sait, dans un état de délabrement total, tout devient possible.
