La place qu’occupe l’environnement, aujourd’hui, dans la sphère sociétale tunisienne, se rétrécit comme une peau de chagrin. Passant outre les défis socio-économiques, gouvernants, institutions, entreprises et citoyens, placent les questions environnementales au plus bas dans leur échelle de priorités. Les déchets jonchant les rues n’étant que la partie visible de l’iceberg d’une politique environnementale défaillante.
