Comment est-ce que la Turquie a réussi à séduire les Tunisiens, autant sur le plan populaire qu’officiel, en leur présentant « l’erdoganisme » comme étant l’exemple à suivre alors qu’il se décline en deux et non pas en un seul modèle ?

Comment est-ce que la Turquie a réussi à séduire les Tunisiens, autant sur le plan populaire qu’officiel, en leur présentant « l’erdoganisme » comme étant l’exemple à suivre alors qu’il se décline en deux et non pas en un seul modèle ?
صدر بالرّائد الرّسمي عدد 36 لسنة 2020 الأمر الحكومي عدد 167 لسنة 2020 المؤرّخ في 28 أفريل 2020 والمتعلّق بضبط مشمولات وزير الدّولة لدى رئيس الحكومة المكلّف بالوظيفة العمومية والحوكمة ومكافحة الفساد والهياكل والمؤسّسة الرّاجعة إليه بالنّظر وبتفويض بعض صلاحيات رئيس الحكومة له. هذا الأمر الحكومي يثير بعض الملاحظات، بعضها يتعلّق بمسائل شكلية لها صلة بتقنية صياغة النّصوص القانونية، والبعض الآخر يهمّ الأصل وبشكل خاصّ مسألة التّفويض.
Pour atténuer les risques de fraude et de corruption, il est important de maintenir les audits internes ainsi que la pression de l’opinion publique, des organisations, et de la société civile. La publication, sur les portails officiels des autorités publiques, de toutes les informations financières liées à la pandémie permettra de renforcer la transparence et de favoriser la confiance.
Oscar Wilde disait : « l’homme est moins lui-même quand il est sincère, donnez-lui un masque et il dira la vérité ». C’est dire si le masque est, fondamentalement, ce qui révèle. Le masque est aveu, et la pandémie actuelle ne lasse pas de le confirmer.
Les virus sont intrinsèques au vivant. Depuis toujours, l’humanité a affronté des épidémies. Celle en cours du SARS-CoV-2, son vécu affectif et les réactions politiques qu’elle suscite recèlent les particularismes de notre époque. D’une certaine manière, la pandémie actuelle agit tel un révélateur du monde numérique et de la manière dont il mue. Les choix idéologiques pour la contrer jettent les bases d’une société connectée au virtuel mais déconnectée d’elle-même.
Cet entretien a porté préjudice à la littérature, à laquelle il faut rendre hommage, pour qu’elle ne soit plus malmenée par des chroniqueurs/euses qui croient faire la pluie et le beau temps, qui, par la grandeur de leur petitesse devant cet édifice dont la hauteur leur donne le vertige, confondent l’homme et l’écrivain, le texte et le contexte et croient comprendre tout de l’œuvre.
La terrible pandémie CoViD-19 ne devrait pas être l’occasion de propagation de fausses nouvelles, d’intox, ou de colportage des thèses complotistes de la part des vrais comme des supposés chercheurs.
On connaît bien le mythe de la caverne platonicien. Des prisonniers qui ne savent pas qu’ils le sont, prennent pour la réalité les reflets et les ombres qu’ils voient sur les parois de l’antre qui les héberge. Imaginons que l’un d’entre eux, raconte Platon, soit conduit de force vers la sortie. Il sera ébloui par la lumière du soleil et sa première réaction sera de vouloir retourner dans la caverne.
La dangerosité de cette dette ne réside pas dans sa valeur intrinsèque ou relative au PIB. Elle réside surtout dans sa nature. Le fait que la majorité de la dette tunisienne soit détenue par des partenaires étrangers met la Tunisie dans une situation de tutelle. Cette situation, au-delà de sa gravité réelle, représente un traumatisme dans la mémoire collective liée à l’instauration du protectorat français en 1881, à cause justement de l’endettement.
La gravité de la situation, la vitesse de propagation du virus et la hausse du taux de mortalité dans plusieurs pays exigent, désormais, une « centralisation » de la gestion de crise au niveau international. L’ONU, avec toutes ses entités, est la mieux placée pour remplir cette mission.
غيب الموت جسد الصديقة العزيزة لينا بن مهنى في 27 جانفي2020 ، كانت المرة الأولى التي أشعر فيها ببعض القدرة على الكتابة عن المقاتلة الشجاعة في الدفاع عن حقوق الإنسان دون اعتبار لانتماء الضحايا، وعن الإنسانة لينا بن مهني التي طالما دعمتني وآنستني في غربتي.
Lors de son tout dernier entretien télévisé, le chef de gouvernement Elyes Fakhfakh, agacé par le propos de la journaliste mettant en avant les insuffisances de certains centres d’hébergement de quarantaine Covid-19, lui rétorqua qu’on devait réviser nos exigences en termes de confort et apprendre à « ouvrir une boîte de sardines avec les dents ». Etrange exemple qui dénote de l’improvisation du moment, tant il paraît pour le moins incongru de parvenir à ouvrir une boîte métallique avec ses dents, même avec toute la bonne volonté du monde et les efforts dictés par l’indigence la plus extrême.
Malgré l’ampleur de l’offre médiatique sur le nouveau Coronavirus, les connaissances scientifiques relatives à cette pandémie suscitent souvent des malentendus chez le grand public. Nombreuses sont les théories du complot et les rumeurs qui circulent, en ligne et hors ligne, sur le SARS-CoV-2. A l’origine de cela, l’illettrisme scientifique, une marginalisation des sciences humaines dans les formations scientifiques et l’absence d’un journalisme scientifique.
La disparition des gazelles dama (Figure 1) du parc de Bou Hedma (zone 3) a provoqué un émoi chez certains. Pourtant, leur disparition était prévisible depuis quelques années.
Ces derniers jours auront été sans nul doute marqués par « l’épisode de l’œuf ». Rappelons-en toute de même brièvement la teneur. Sorti durant le couvre-feu nocturne pour aider à la distribution des aides alimentaires dans la région de Kairouan, Kais Said, noyé dans la foule qui s’était agglutinée apprenant sa venue, est brusquement pris à parti par un homme désespéré qui lui tend un œuf avant de s’éclipser, non sans avoir expliqué que c’était là tout ce dont il disposait pour dîner.
Pourquoi les coupes d’arbres ont-elles pris cette ampleur ? S’il est certain que le chêne zeen a été utilisé pendant la période coloniale pour la confection des traverses des chemins de fer, cette pratique a cessé depuis. Or les artisans de la région travaillant le bois n’utilisent pas celui du chêne zeen.
A l’occasion du huitième anniversaire de l’association Beity, nous publions ce texte dont nous a fait part sa présidente Sana Ben Achour. Cette contribution interroge le lien entre les configurations de l’espace et les rapports sociaux de sexe dans la fabrique des laissé-e-s pour compte. L’espace urbain et l’habitat ne sont-ils qu’une simple scène sur laquelle se jouent les violences, les marginalités et les exclusions ou participent-ils de la déstructuration-restructuration des individus et des rapports sociaux ?
Suddenly my hands were red. Thick, glass shards—which moments earlier had been a smooth bowl—lay scattered across the tabletop. Small pools of blood followed me like shadows on the kitchen floor before my wife reached me with a towel and instructions to apply pressure. As she gathered car keys, my spinning head brought me to the floor. Seated there, queasy and cold, two strangers—architects my wife had been meeting—helped me wearshoes. They closed the door behind us as we sped to the hospital.