Avec un corpus de pièces inégalement intéressantes en soi, mais rentrées au forceps dans un propos thématique qui les décontextualise, le deuxième pavillon de Jaou Tunis 2018 rate son coche. Se voulant fidèle à l’élément feu, l’exposition réduit ses œuvres à des métaphores ininflammables. Elle se poursuit dans l’imprimerie Cérès, jusqu’au 27 juillet 2018.
