Absente de l’agenda politique, la recherche scientifique dépérit, insensiblement. Et pendant que l’AVC pose encore un grave problème de santé publique en Tunisie, la révolution génétique est en marche avec ses promesses et ses défis. A l’Institut National de Neurologie Mongi Ben Hamida, le Professeur Fayçal Hentati en sait quelque chose de ce décalage qui exacerbe les maux de la médecine tunisienne.
