Dans ce 2ème volet de notre série d’articles consacrés au changement climatique, nous traitons des différentes formes possibles d’adaptation des écosystèmes naturels. Un enjeu majeur dans un contexte où la biodiversité est plus que jamais menacée.

Dans ce 2ème volet de notre série d’articles consacrés au changement climatique, nous traitons des différentes formes possibles d’adaptation des écosystèmes naturels. Un enjeu majeur dans un contexte où la biodiversité est plus que jamais menacée.
Dans cette série d’articles, nous traitons des différentes formes d’adaptation de l’environnement humain, des écosystèmes naturels et de l’agriculture, à même de faciliter la vie dans des conditions climatiques stressantes. Ce premier volet se penchera sur les solutions susceptibles d’être adoptées en milieu urbain et rural.
Des plantes exotiques se reproduisent en Tunisie en dehors de tout contrôle et envahissent des espaces naturels. Dans ce contexte, le contrôle de l’importation des plantes d’ornement s’avère d’une urgente nécessité.
Des arbres invasifs se reproduisent hors contrôle, tendant à occuper les espaces naturels et à entrer en compétition avec les espèces autochtones. Le problème ? Les arbres exotiques ont tendance à s’étendre aux dépens des espèces locales, voire même à les éliminer.
Dans le contexte du changement climatique, l’agroforesterie offre des pistes intéressantes pour un pays comme la Tunisie. Mais cette approche pâtit chez nous de son faible enracinement. Et le choix des espèces à planter est décisif.
Dans un contexte fortement marqué par le réchauffement climatique, nos villes ont besoin d’arbres susceptibles d’atténuer les températures extrêmes, par l’ombre qu’ils procurent, et le confort thermique qu’ils prodiguent. Encore faut-il sélectionner les espèces les mieux adaptées aux contraintes environnementales tunisiennes.
Dans un contexte de bouleversements climatiques, nous avons besoin d’arbres rustiques et résilients, afin de lutter contre les îlots de chaleur notamment en milieu urbain. Certaines espèces peuvent se contenter de peu d’eau, tout en résistant aux fortes chaleurs. Elles paraissent donc particulièrement indiquées pour les régions arides et sahariennes, tant en milieu urbain que naturel. Et il est regrettable que les services compétents ne leurs aient pas accordé l’importance qu’elles méritent.
Le peuplier, le saule, le noyer, le pacanier, autant d’arbres parfois introduits, et souvent peu connus du grand public en Tunisie. Ces espèces vivant dans différentes régions du pays ne sont pas toutes à distribution restreinte. Elles méritent que l’on apprenne à mieux les connaitre.
Le cas de la forêt d’Aïn Zana est particulièrement inquiétant, car dans certains secteurs, plus de la moitié des arbres ont été abattus. Mais la plus grave des menaces demeure le feu qui détruit tout sur son passage. Les incendies de 2017, malgré l’ampleur de leurs dégâts, n’ont pas été suivis par des mesures visant à les prévenir dans l’avenir.
Pourquoi les coupes d’arbres ont-elles pris cette ampleur ? S’il est certain que le chêne zeen a été utilisé pendant la période coloniale pour la confection des traverses des chemins de fer, cette pratique a cessé depuis. Or les artisans de la région travaillant le bois n’utilisent pas celui du chêne zeen.
Le Forum Tunisien des Droits Economiques et Sociaux (FTDES) et l’Union Régionale du Travail de Jendouba se sont mobilisés contre une décision émise par le ministère de l’Agriculture. Cette décision porte sur l’octroi d’une autorisation d’exploitation de 200 hectares de forêts de pin situés à Ouled Helal, Ain Draham au Nord-ouest du pays. Une campagne est lancée contre la déforestation.
أمام صراخ الكلتوسة المسموع في القصرَين، بين كم الصراخات المصمومة الآذان عنها، المتأتية من أماكن لا كلتوسة فيها، سوى بعض الكلتوسات العارية. صراخ بلا انقطاع منذ عشرات السنين لدى البعض، و منذ قرون لدى البعض الآخر.
تعرّض الغطاء النباتي المنتشر على كامل تراب الجمهوريّة الّتي تمسح 162000 كم² إلى الإصابة بأمراض وبائيّة خطرة تهدّد إستمراريّته و بقائه و هذا ما يشكّل تهديدا للأمن الوطني الغذائي الّذي يرتكز على تنوّع منتوجيّة ثرواته المتمثّلة في إنتاجيّة العديد من النبتات لا سيّما الشجيرات و الأشجار المستغلّة في مجالات و قطاعات عديدة أهمّها القطاع الغابي و القطاع الفلاحي.