Les faits remontent au samedi 5 décembre 2015. A 20h30, une brigade de huit policiers encercle le quartier où réside Ahlem et fait irruption dans son domicile. Les voisins ont cru à une descente antiterroriste.

Les faits remontent au samedi 5 décembre 2015. A 20h30, une brigade de huit policiers encercle le quartier où réside Ahlem et fait irruption dans son domicile. Les voisins ont cru à une descente antiterroriste.
Attaqué par divers invités de l’émission sur ses appartenances politiques, Chakib Derouiche, présenté par Klem Ennas en tant que chroniqueur, s’est retrouvé à plusieurs reprises dans une impasse.
La valse des experts venus à la rescousse du controversé projet de loi sur la «réconciliation économiques» se poursuit. Diffusé en direct vendredi 18 septembre à 21h sur la Watania 1, le talk-show Wa lakom sadid al-nadhar [A vous de juger] s’est intéressé à la question. Deux invités y ont été présentés sous faux pavillon. L’équilibre apparent de l’émission s’est rapidement écroulé.
Bardo le 7 Septembre 2013 Communiqué L’Observatoire Tunisien de l’Indépendance de la Magistrature (OTIM) réuni dans le cadre de son […]
Jamais la contre- révolution n’a été autant d’actualité qu’elle ne l’est aujourd’hui. Les deux dernières semaines du mois de février et le début du mois de mars semblent marquer un tournant dans cette guerre qui ne dit pas son nom. Dans cet article, je vais essayer de mettre en focus tous les contours d’un puzzle d’apparence sans queue ni tête […]
Parallèlement à la vague de froid sans précédent qui sévit depuis quelques jours sur notre cher pays, il semblerait que le phénomène d’intoxication médiatique ait également pris une ampleur sans précédent […]
Par Ahmed Ben Mustapha Suite à l’article de Nizar Bahloul du 4/07/2011 intitulé « que cherche à cacher le ministère […]
La longue liste des martyrs tunisiens s’est allongée ce mercredi 18 mai 2011 avec la mort, au champ d’honneur, du […]
Qui est le premier ministre Mohamed Ghannouchi ? Qui est cet homme qui soudain s’affirme en responsable du destin de la Tunisie pendant cette période de transition alors qu’il occupait ce même poste déjà depuis une dizaine d’années jusqu’au jour de la sortie spectaculaire de l’ancien président Ben Ali .
L’expulsion/fuite de Ben Ali n’est qu’un relais à la vraie et ultime liberté. Ben Ali n’a été que le fervent serviteur et premier porte parole de la dictature du RCD. (il s’est d’ailleurs grassement servi). En fait, si on lit et lie bien les faits, l’étincelle révolutionnaire n’a été déclenchée que par cette mainmise du Parti Unique sur toute forme de privilège économique et social ainsi que sur les richesses et opportunités du pays.
Par Salah Ben Omrane- Que dit la Constitution de la République Tunisienne, promulguée le 1er juin 1959 ? Dans son article 40, il est dit ceci : « Peut se porter candidat à la Présidence de la République tout Tunisien, jouissant exclusivement de la nationalité tunisienne, de religion musulmane, de père, de mère, de grands-pères paternel et maternel tunisiens, demeurés tous de nationalité tunisienne sans discontinuité. En outre, le candidat doit être, le jour de dépôt de sa candidature, âgé de quarante ans au moins et de soixante quinze ans au plus et jouir de tous ses droits civils et politiques.
Nul ne peut contester, sauf à mentir aux 10 millions de tunisiens et à la multitude de personnes qui ont suivi avec curiosité, intérêt et finalement enthousiasme, en direct à travers le monde, la libération d’un peuple, que la vacance de la présidence de la République en Tunisie s’est produite le 14 janvier 2011 à 17. 40 par la fuite précipitée, de M. BEN ALI de Tunisie et l’abandon concomitant de la fonction.
Une dictature des plus féroces vient de tomber, en Tunisie, « le pays calme », comme dit la publicité touristique… « Travail, liberté, dignité », voilà le mot d’ordre scandé dans toutes les manifestations qui ont secoué la Tunisie depuis des semaines, accompagné par le silence complice du gouvernement français qui, par la voix de Mme Alliot-Marie proposa ses services pour « aider à ramener le calme ». L’histoire est en marche en Tunisie. Elle retiendra que le gouvernement français a soutenu, comme la potence soutient le pendu, un dictateur aveugle, sourd et corrompu qui a régné pendant 23 ans pour enrichir sa famille et ses affidés.
Je fais partie de ces lâches qui ne sont pas descendus dans la rue, qui n’ont pas réellement réagi face à la crise vécue au sud, sans doute parce que je fais partie de cette catégorie de gens qui ne se sentent concernés que quand ça les touche de plein fouet. Je n’ai pas non plus répondu présent à la grande manifestation sans doute parce que j’ai longtemps été convaincu que devant l’impunité dont jouissait notre ex président dictateur, le nombre de mort ne l’arrêtera pas et il continuera jusqu’à ce que la crise s’arrête.
Mes amis, mes amours, ma fierté, tunisiens braves, tunisiens libres, tunisiens dignes, nous devons poursuivre le combat, jusqu’au bout…Nous avons presque gagné alors ne baissons pas les bras.
Le président de la République exhorte ses ministres à prendre leurs responsabilités. Et se pose en défenseur de la démocratie, […]
TUNIS (AFP) — Charles Aznavour qui se produisait mardi soir en Tunisie à l’amphithéâtre de Carthage a été encensé par […]
L’information de la semaine, à savoir le lancement en Tunisie et en avant-première mondiale du nouveau bolide de la marque […]