France 230

Concepts TV : Les plagiaires tunisiens inspirés par la télé-poubelle française

Deux nouvelles émissions viennent de faire leur entrée dans les grilles de programmation d’Attessia et d’El Hiwar Ettounsi : “100 Façons” et “Oumour Jeddia”. Le plagiat de concepts d’émissions françaises est devenu une tradition dans le paysage télévisuel tunisien. Pire : C’est surtout la télé-poubelle de l’Hexagone qui commence à faire école en Tunisie.

France/Tunisie : Ces couacs diplomatiques et médiatiques qui n’en finissent pas !

Au lendemain de l’attentat du musée du Bardo, il s’avère que la coopération proposée par le gouvernement français au « pays qui a engagé le printemps arabe » vise des contrats financiers en matière de sécurité et de renseignement, de plus est, payés par un tiers, à savoir les Emirats Arabes Unis. Quant aux dettes tunisiennes, il ne s’agit nullement de les éponger, aussi odieuses soient-elles, mais de faire semblant de les convertir à nouveau pour les beaux yeux de la Tunisie. A quelques exceptions près, le traitement médiatique français de ce ratage politique annoncé fut étonnamment consensuel.

Attentat du Bardo : La Tunisie dans les médias ou l’exception française

Nous sommes en 2015 après Jésus-Christ. Le monde entier admire la Tunisie berceau des révolutions arabes, son espoir le plus prometteur et exportateur de brillants intellectuels… Le monde entier ? Non ! Car d’irréductibles médias français résistent encore et toujours à la marche de l’Histoire. Et la vie n’est pas facile pour la diaspora tunisienne des banlieues reléguées de Paris, Lyon ou Marseille…

Pourquoi je défends le retour d’un service national universel et obligatoire en France ?

Il aura fallu la commission, par des jeunes Français se réclamant de l’islam radical takfiriste, des attentats de Paris du 7 au 9 janvier derniers pour que la question de la réintroduction d’un service national revienne avec force dans les débats. Selon un récent sondage, une large majorité des Français est favorable à son retour. Des députés PS, quant à eux, se sont déjà mis au travail. Ils planchent depuis quelques jours sur le type de service que le pays devrait adopter : service civil plutôt que militaire, durée, fractionnement des moments consacrés à cette obligation pour les jeunes actifs, âge d’incorporation, cycles de formation délivrés à l’occasion. François Hollande, enfin, a parlé lors de sa conférence de presse du 5 février de « service universel ».

« Jurer ou parjurer ?» : Les serments constitutionnels reflets des régimes et des époques !

Voici une compilation sur deux siècles des dispositions constitutionnelles relatives aux serments des « gouvernants » de la Tunisie, de l’Algérie et de la France. Avec le recul, des serments qui reflètent, sans doute, autant de parjures que de violations de la part de ceux qui ont promis le meilleurs à leurs peuples… jusqu’à celui qui fuit la Tunisie un certain 14 janvier 2010.

Géopolitique d’« un » Printemps Arabe : les présidentielles devant le miroir de la presse internationale.

La presse internationale s’est délectée, ces deux derniers jours, à analyser le second tour de la présidentielle tunisienne. Congratulations et présentations intéressées de la victoire de Béji Caid Essebsi par certains médias et formulation d’un pragmatisme par d’autres, c’est une image différenciée de la transition démocratique qui émerge selon les pays.

La Tunisie n’est pas laïque

L’image rendue par les média étrangers – essentiellement les média français – de la société tunisienne et de sa scène politique est une image déformée, simpliste, fausse. La Tunisie est dépeinte comme étant cette évidente dichotomie : laïcs contre islamistes, éclairés contre obscurantistes. La France se débattant vainement pour défendre sa définition de la laïcité se sent dans l’obligation d’exporter ce concept inadapté et de l’imposer à une société, autrefois dominée, aujourd’hui indépendante. Est-il nécessaire de le rappeler ?

Quand les “amis” de la Tunisie se partagent le “gâteau sécuritaire” !

Force est de constater que ce « partage » de compétence entre ces pays « amis » est peut être fortuit, mais laisse place à de nombreuses interprétations. Bien que tout porte à croire que c’est à Camp David que ce partage a été décidé, faisant, donc, des opérations terroristes sévissant en Tunisie « un prétexte » pour ces pays de s’ingérer, au plus profond, dans les affaires intérieures d’autrui, voire de s’en servir d’une base arrière, dans ce qui pourrait être la prochaine grande bataille des années à venir : la ruée vers l’Afrique.

Caid Essebsi sur les pas de Louis XVIII

Caid Essebsi avait déjà été parachuté au Palais de la Kasba, au Printemps de 2011. Comme fut parachuté Louis XVIII par Talleyrand, à l’issue du Congrès de Vienne, au Printemps de 1814. Ce fut la Première Restauration et pour Caid Essebsi, sorti des oubliettes, et pour le Comte de Provence, de retour d’un long exil. La Première Restauration échoua. Et, Louis XVIII jura, tel que Caid Essebsi, de ne plus s’immiscer dans les affaires politiques. Mais, le revoilà reconquérir le pouvoir, suite à la cuisante défaite de Napoléon à Waterloo.

Interview avec Jean-Louis Debré : « Enrichissons nous de la vérité des autres, mais soyons nous-mêmes ».

Interview exclusive accordée à Nawaat par M. Jean-Louis Debré (ex-président de l’Assemblée nationale française, ex-ministre de l’Intérieur et actuel président du Conseil constitutionnel français) ; et laquelle interview ayant porté sur le rôle de la juridiction constitutionnelle dans l’affermissement de la démocratie et de l’État de droit, tout comme sur des aspects relatifs aux échanges des expériences juridiques entre les Nations.

L’IRIE France 1 : Partialité et incompétence ! La transparence des élections compromise

Notre inquiétude est d’autant plus grande quand on constate que de nombreux citoyen(ne)s ayant voté en 2011 se retrouvent sans raison éjectés des listes électorales et risquent de ne pas pouvoir voter. A cela s’ajoute la manière incompréhensible et plus que contestable dont a été envisagée la répartition des électeurs(trices) entre les divers bureaux de vote, ce qui risque de poser de nombreux problèmes d’accueil et d’organisation lors du scrutin d’octobre et surtout pour conséquence de dissuader de nombreux électeurs(trices) en France d’accomplir leur devoir de citoyen(e)s. Serait-ce là le but recherché ?