Le rapport que les mouvements intégristes entretiennent avec la violence peut prendre des formes différentes selon la nature du courant considéré, son école théologico-politique, son encrage social, les profils et les trajectoires de ses dirigeants et selon le contexte socio-politique du pays concerné.
Du “Taghut” et des singeries sur la voie publique
Quand Hajj Dukhani a un mot utilisé dans le coran à expliquer, il fait partie de ceux qui ont la fâcheuse habitude de googler le coran et demander à Allah de le lui expliquer. Il s’agit d’une pratique devenu obsolète chez les musulmans d’aujourd’hui qui laissent libre court aux Ouistitis qui adorent fouiller dans le caca rédigé par les faux savants dans la fausse chariaa d’Allah.
Du drapeau que les faussaires ont attribué à Allah
Contrairement aux intellectuels Tunisiens, Hajj Dukhani n’est pas impressionné par la pseudo légitimité de ceux qui braient l’islam en brandissant un torchon en tissu qu’ils disent être le drapeau d’Allah. Voyons voir de quoi il s’agit comme exercice coranique et pratique de discernement du faux du vrai…
Ibadat El Chouyoukhs 10 : La « dukkha » des Anbiyas !
Avertissement traditionnel : Vous êtes ici au niveau 10 de l’hérésie islamique par le coran. Ceux qui ont appris l’islam en prenant les cheikhs pour maîtres seront profondément et affreusement choqués. Ils sont gentiment priés de QUITTER IMMEDIATEMENT cet article.
La conversion des Frères au néo-libéralisme (Partie III)
Dans le domaine économique, et pendant les années de décolonisation, des « spécialistes » ont décrété l’incompatibilité de l’Islam avec le Capitalisme, thèse que Maxime Rodinson s’est employé à réfuter dans un ouvrage portant le même titre. Aujourd’hui, le libéralisme devient la panacée qui permet aux yeux de ses promoteurs de faire sortir l’Islamisme de son carcan fondamentaliste.
La conversion des Frères au néo-libéralisme (Partie II)
Le culte de la richesse s’accompagne d’une apologie de l’individu face aux institutions et à l’Etat. C’est ce qui explique le succès de la culture managériale américaine au sein des Frères.
La conversion des Frères au néo-libéralisme (Partie I)
Les transformations politiques et économiques, nées après le premier choc pétrolier, ont influencé en profondeur l’approche économique et sociale des Frères. Le désengagement de l’Etat et l’enrichissement des exilés ont suscité l’émergence d’un capitalisme Frère.
Apostrophe des trois Présidences : la Révolution tunisienne est en péril; votre devoir est de réagir vite et fort !
Un homme politique a été incarcéré pour sodomie présumée, et cela se passe dans la Tunisie de la Révolution !Or, juridiquement la base légale de pareil acte judiciaire est inexistante. En effet, l’abrogation de l’ancienne Constitution a entraîné de facto celle de tout l’arsenal légal en usage sous la dictature pour réprimer les libertés. Or, le droit à la vie privée en est une manifestation éminente.
Ibadat El Chouyoukhs 9: Mon Hajj à la Mecque.
Avertissement: Personne n’est obligé de lire cet article. Il est strictement déconseillé à tous ceux qui considèrent sacrée la ville de la Mecque ainsi que la chose cubique en pierre qu’elle abrite. Qu’ils QUITTENT IMMEDIATEMENT cet article.
L’Aube est-t-elle si proche ?
Le monde arabe allait vivre sa mutation, se libérer de l’autoritarisme et accéder à la pluralité, à plus de justice et de liberté. Néanmoins, la question éthique se trouve totalement occulté comme objet complexe d’étude inséparable de l’analyse du mouvement révolutionnaire.
Un message d’outre-tombe de Chokri Belaid
En ce quarantième jour de l’assassinat de Chokri Belaid qui est, dans le même temps, la véritable date anniversaire de l’indépendance politique de la Tunisie, l’âme du martyr de la Révolution est venue à moi me charger de transmettre un message à nos élites.
Le virage à droite des Frères musulmans
Confortant les courants conservateurs, le libéralisme ambiant a mis en sourdine toute la problématique de la justice sociale. Désormais, c’est la réussite individuelle qui est le moyen d’atteindre l’objectif final : l’instauration d’un pouvoir islamique.
De l’idéologie musulmane à l’utopie islamique
Dans cet article faisant suite à un précédent et annonçant un autre, je présenterai quelques aspects de cet i-slam auquel j’appelle, soit le passage de l’idéologie actuelle à l’utopie future, et ce selon une lecture ricœurienne.
Non, Cheikh Majeri, on ne tue point qui ne prie pas, l’islam étant liberté !
Cheikh Khamis Majeri, au prétexte de faire l’exégèse du rite de l’imam Malek, école en vigueur en Tunisie, vient de verser dans l’ignorance totale de sa religion en voulant faire montre de son savoir.
Dites bonjour à l’i-slam en Tunisie !
Contrairement à ce que pensent certains esprits encore éblouis par la modernité occidentale pourtant évanouie, le fait religieux est plus vivant que jamais. Le retour du religieux est même la marque majeure de la postmodernité, notre époque actuelle. Et cela est vérifiable partout dans le monde sous des formes diverses.
La science des contradictions et les musulmans modérés
Les Tunisiens « modérés » refusent d’admettre qu’il y a, devant eux, des véritables scientifiques de la contradiction. Ils sont quasiment imbattables. Des siècles qu’ils s’entrainent à rendre vrai ce qui est faux. C’est la science de Satan et seule la science de Dieu peut la battre.
La religiosité entre surhomme occidental et surcroyant musulman
À l’origine de tout, comme dirait Jean Guitton, il est une question qui unit la morale à l’orgueil. À force de se prendre pour un croyant pur de tout péché, un surcroyant pour oser un néologisme en synonymie avec le bien fameux surhomme de la philosophie occidentale, on finit par être impur à sa croyance, faisant n’importe quoi, devenant fatalement n’importe quoi, et surtout rien par rapport à la foi même dont on se réclame.
Le dilemme d’Ennahdha
Le mouvement islamique est né en Tunisie à l’initiative de jeunes de la Médina. Très vite, ils se rassemblèrent autour de Abdelfattah Mourou. Leur objectif était de réformer les mœurs et de ramener les jeunes à la pratique religieuse à une époque où les mosquées étaient devenues le refuge de vieux retraités.