RCD 120

D’abord la confiance et la loyauté pour sortir de l’humiliation et du totalitarisme !

Il semble inutile de revenir sur le déroulement troublant des événements de laboratoire qui ont précédé la fuite de Tunisie, humiliante pour nous tous, du Président tunisien ce 14 janvier 2011. La « révolution grandeur nature » en Egypte a levé toute ambiguïté sur les desseins et l’opportunisme prémédité de la main invisible qui a coaché, en direct et en temps réel sur les télévisions du monde, l’organisation du départ du Général Moubarak du Caire.

Tunisie : Appel du devoir

Notre révolution montre que le pays manque de symboles, qui peut s’avérer un risque potentiel. D’un côté, par la voie démocratique une force politique telle qu’elle soit, finira par l’emporter et qui ne pourra échapper à la tentation de créer son propre symbole. D’un autre côté, l’absence de tout symbolisme risque de déstabiliser le pays et n’importe quel militantisme ne peut être guidé qu’avec un leader

Dix jours de gouvernement provisoire. Dégage ?

Par Amjad Ghazi – Que faire de ce gouvernement que des gens bien intentionnés soutiennent, que des gens raisonnables soutiennent ; certains pleinement, qui expliquent qu’il fait ce qu’il peut, que c’est un moindre mal ; d’autres, j’en fais partie, sont de plus en plus perplexes, inquiets. Il est temps de demander des comptes.

Les arguments fallacieux de deux pseudo-opposants

Par Nazih Karoui – “La nature a horreur du vide”. Si on applique ce principe à la vacation du pouvoir, il serait sage de déduire, qu’à la suite de la fuite de l’ex-président Tunisien, un nouveau gouvernement devrait se former et opérer très rapidement pour éviter tout dérapage vers une situation chaotique. Les arguments tenus par Messieurs Mohamed Nejib Chebbi et Ahmed Ibrahim…