Chers compatriotes, Vivant à l’étranger et observant de là notre belle révolution, après l’avoir accompagnée et soutenue via internet et […]
La Révolution Tunisienne, toujours en état comateux; a eu quelques sursauts après le chute du REGIME Moubarak. Il est vraie […]
[…]Outre ces trophées, une seconde cible qui, si elle n’a pas été totalement touchée, aura du moins reçu un très gros coup qui va lui faire battre de l’aile pendant quelques temps. Ce sont les mouvements religieux intégristes et salafistes. […]
En décidant de créer « une commission chargée de veiller au respect de la déontologie journalistique », ce Conseil illégitime et provisoire, a entamé très rapidement, comme c’était prévisible d’ailleurs, le retour institutionnalisé vers l’ère de Ben Ali.
Abdelfattah Amor, un Joker des Droits de l’Homme de Ben Ali, nommé Président de la Commission Nationale d’établissement des faits sur les affaires de malversation et de corruption.
Aujourd’hui la Tunisie intéresse tout le monde : les journalistes, les sociologues, les spécialistes de géopolitique, les opposants exilés, les islamistes obscurantistes (exilés également)… et fait trembler certains :
Par Lotfi Benmosbah – J’ai une grosse déprime ce soir ! Alors que je vois le peuple égyptien vaillamment uni pour obtenir le départ de Moubarak, nous, tunisiens, sommes en train de nous diviser au sujet d’une théorie selon laquelle l’incessante grogne sociale va mener la Tunisie à sa perte.
Après une prière sur l’âme de nos martyrs, Je salue les centaines de milliers qui sont descendus dans les rues […]
Après « Ben Ali dégage », les jeunes tunisiens scandent « RCD dégage ». Dimanche soir, un communiqué lu à […]
25 January 2011 was the day when people of Egypt went to the streets in several cities to demonstrate against […]
Condamnation, amertume, regret, incompréhension… voilà comment la majorité des Tunisiens a réagi aux évènements du vendredi 28 janvier. Certains habitants […]
Le 17 décembre 2010, Mohamed Bouazizi, un jeune diplômé, blessé par le mal-vivre, victime de l’indifférence et de l’oppression, s’immola […]
Deux décennies infâmes plus tard, le 14 janvier 2011, le Général est chassé en douce du pays qu’il a tenu d’une main cupide, d’une main de fer et de plomb, avec la complicité active et passive d’une partie de la population tunisienne et une très large partie de l’élite économique et culturelle du pays.
Beaucoup, parmi ses enfants, s’inquiètent pour la Tunisie après plusieurs semaines de révoltes et de manifestations.
