Du 26 au 30 mars une rencontre internationale aura lieu à Tunis : le Forum Social Mondial (FSM). Discussions, débats, ateliers… des rencontres entre des citoyens actifs du monde entier.

Du 26 au 30 mars une rencontre internationale aura lieu à Tunis : le Forum Social Mondial (FSM). Discussions, débats, ateliers… des rencontres entre des citoyens actifs du monde entier.
Lundi soir, dans un théâtre parisien s’est tenue une soirée relativement passée inaperçue en Tunisie. De grands noms des deux rives de la Méditerranée étaient pourtant réunis pour lancer la campagne internationale de soutien au Pacte de Tunisie des droits et des libertés.
La révolution tunisienne a été souvent dépeinte comme une sorte de « pure » événement, une occurrence « unique » où un « peuple tunisien » quasi mythique et homogène a réussi à se débarrasser de son «dictateur». Par un acte quasi-magique, il aurait suffi que le peuple hurle « dégage » le 14 janvier 2011 pour que le dictateur prenne effectivement la fuite.
Alors que nous fêterons dans quelques jours le deuxième anniversaire de la fuite du tyran, la Tunisie vit au rythme des scandales et des crises. Crises institutionnelles et crises politiques sont devenues, depuis quelque mois, le quotidien du paysage politique tunisien.
« Esmaâni », une expression familière que même les très jeunes enfants commencent à prononcer dès leurs premiers mots. « Esmaâni », c’est vouloir dire « écoute-moi », « regarde-moi », « j’existe ». Autant dire, des nécessités pour chaque individu, en tant qu’être social. …
Il faut l’avouer, face à cette actualité dense et tous ces chantiers économiques, sociaux et sociétaux menés de front en Tunisie depuis le 14 janvier 2011, l’écologie ne parvient pas à trouver sa place dans l’agenda et le discours des organisations politiques.
Une mission d’étude de l’Union Européenne (UE) vient de terminer son rapport de diagnostic sur la Société Civile Tunisienne (SCT). Retour sur les principaux éléments de ce rapport et quelques propositions d’actions pour l’avenir.
Dans une conférence de presse donnée il y a quelques jours, le président de l’Instance Supérieure Indépendante Pour les Elections (ISIE) Mohamed Kamel Jendoubi (chargée de mettre en place les premières élections libres en Tunisie), a annoncé les dernières dispositions avant le scrutin tant attendu du 23 octobre. Il s’est montré optimiste quant à la participation des Tunisiens dans ces élections.
Lettre ouverte à Radhia Nasraoui, Sihem Ben Sedrine, Souheir Belhassen, Mokhtar Trifi, Ahmed Mestiri, Hamma Hammami, Rached Ghannouchi, Moncef Marzouki, […]
Il est difficile de comprendre les raisons ou l’intérêt qui ont amené le président Ben Ali à créer un nouveau […]
Le président Ben Ali appelle les deux parties en conflit au sein de la Ligue de défense des droits de […]
Tunisie . Des représentants de la société civile sont en France pour demander plus de solidarité envers les syndicalistes et […]