Par Brahim Zaibet & AdrenaLina. « Décennie noire », « tragédie nationale » ou « guerre civile » ce ne […]

Par Brahim Zaibet & AdrenaLina. « Décennie noire », « tragédie nationale » ou « guerre civile » ce ne […]
Par Anis Achek. J’ai lu dans le journal Assabah du 28/04/2011 les résultats d’un sondage d’opinion dont les résultats m’ont […]
Six morts et treize blessés : depuis la nuit du 15 au 16 janvier, date à laquelle la police a ouvert le feu sur la population de Ouardanine, les familles des victimes manifestent pour que des poursuites soient engagées contre les assassins de leurs proches. La procédure qui a été initiée le 19 janvier en est actuellement au stade de l’instruction.
The global landscape is changing in ways that threaten to undermine U.S. basing agreements in many parts of the world. One shift is that people are more aware than ever before of the activities of U.S. bases in their countries. In 1986, a U.S. State Department memo described U.S.-Bahraini military relations as “warm, quiet and based on a long history of mutual trust and understanding.” But today, satellite television, blogs, and social media have made it harder to keep the U.S. basing footprint quiet.
Mohamed Dhiaeddine Souissi – Sire Ben Salem, je pense que personne ne peut nier votre talent de mathématicien reconnu, ce qui vous prédispose méritoirement à la décoration à laquelle vous postulez. Mais Ali Douagi n’aura nullement usurpé la décoration à titre posthume qui lui a été réservée. Il se pourrait bien que son type d’activité intellectuelle ne cadre pas avec les canons de votre axiomatique, mais lui est iconoclaste et novateur. Et franchement, les ellipses et hyperboles de Douagi sont, pour moi et pour tous ceux qui aiment la littérature, préférables aux votres, plates muettes et sans saveur.
Dans le contexte des événements historiques qui se jouent au sud de la Méditerranée et dans le prolongement du colloque […]
Des rivages de la méditerranée à la privation de liberté. L’audience du juge des libertés et de la détention de […]
Monsieur le Président de la République Française : L’Ulysse de ces temps-ci est, inéluctablement, tunisien. Et la tragédie est bel […]
Tunisian award winning* blog Nawaat has been named the winner of the Arab eContent Award 2011, in the e-Inclusion & […]
Les prochaines élections sont politiques. Ils ne cessent de nous le répéter. Le 24 juillet, on élira les membres de la constituante chargés de définir la future constitution qui régira notre vie pour les prochaines vingt, trente années. Pour cela, les partis qui présenteront des candidats à l’élection de la constituante n’ont pas besoin de présenter de programmes économiques ni sociales, nullement besoin puisque les prochaines élections seront politiques !
Par AYJ – En ces temps de liberté débridée, où l’on se plait à tout remettre en question et à revisiter les fondements les plus inébranlables, serait-il inopportun de chercher à comprendre pourquoi la Tunisie ne votera pas pour les islamistes. Ceux parmi vous dont l’intelligence se sentirait offensée de se voir démontrer une évidence aussi irréfutable m’en excuseront.
Cher concitoyen musulman mais sympathisant islamiste, tu penses être dans l’esprit de l’islam en souhaitant voir les islamistes au pouvoir. En es-tu sûr ?
Par Lilia Bou – Au début lorsque j’ai poussé la porte de Facebook, je me tenais titubante timide et sans grande verve. Je m’y glissais craintivement de peur que cela ne soit empreint de mauvaises rencontres, de dragues ou de farces de mauvais plaisantins. Je me connectais rapidement, envoyais deux ou trois petits messages puis me rétractais lasse tellement que mon espace d’amis était restreint et sans grand intérêt.
« La Tunisie est le pays où tout a commencé », analyse Robert Malley, le directeur du programme Moyen-Orient/Afrique du Nord de Crisis Group. « C’est également le pays où la transition démocratique présente aujourd’hui les plus fortes chances de réussite. Pour la région et le reste du monde, c’est là une raison suffisante de continuer à prêter attention à la Tunisie et de l’aider à poursuivre son chemin ».
Pour mémoire, voici un extrait de la dernière prestation de Borhane Bsaïs sur Al-Jazeera. C’était quelques jours avant la fuite de celui que ledit Bohtane défendait avec tant d’ardeur. C’est curieux du reste, à quel point Faïçal El-Kacem semblait si proche des Tunisiens malgré la distance, alors que ledit Blaïs, pourtant vivant parmi eux, fut dans la négation totale du drame tunisien, malgré le nombre déjà important des victimes. C’était le dernier acte d’un opportuniste des plus zélés !
Depuis le 14 Janvier 2011 les faits sur le terrain indiquent que le noyau dur du régime de Ben Ali est encore au pouvoir, mimétisé dans les coulisses, traitant la Tunisie comme un laboratoire pour ces expériences d’opérations psychologiques afin de trouver la bonne dose de peur, de tension et de confusion qui permetterait à ce régime de survivre !