Vous avez beau vous pavaner dans le palais de Carthage, avec ou sans bournouss, la présidence reste à mille lieux de vous. Loin de moi l’idée de nier la légitimité des urnes qui – faut-il le rappeler – ont été remportées avec des discours religieux hypnotisants, des promesses mensongères et quelques milliards qataris. N’est pas Président qui veut dit-on. Et pour cause, le ridicule de vos propos n’a d’égale que l’utopie de vos prérogatives. […]
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