Les événements que vit la faculté des Lettres de La Manouba continuent de susciter des réactions diverses. Selon affinités pour […]

Les événements que vit la faculté des Lettres de La Manouba continuent de susciter des réactions diverses. Selon affinités pour […]
par Monia Jaafar A quelques jours du premier anniversaire de l’insurrection du peuple tunisien (17 décembre 2011) et 24 heures […]
Par Aaron Y. Zelin. Traduit de l’anglais vers le français par Emna El Hammi – Depuis les élections libres et justes le mois dernier en Tunisie, l’attention s’est surtout portée sur la victoire du mouvement Ennahda, la formation d’une Assemblée constituante qui aura en charge d’écrire une nouvelle constitution et la reconstruction de l’économie en ruine. Pourtant, ces questions importantes menacent de masquer un autre défi important à la démocratie naissante du pays: le salafisme.
Par Tarek Amri – Ce qui me frappe chez beaucoup de tunisiens tunisois, c’est leur haut degré de confusion. Dans quel pays au monde, même le plus démocratique, a-t-on laissé à une minorité qui a perdu des élections libres et transparentes, de l’avis unanime de TOUS, tunisiens et étrangers, le soin de choisir son leadership exécutif (Président et Gouvernement). Comble de la manipulation, certains leaders de l’opposition induisant l’opinion publique en erreur, oublient qu’une constituante est souveraine par essence.
Dans quelques semaines, nous fêterons le 1er anniversaire de la révolution tunisienne. A Nawaat, comme la plupart de nos concitoyens, […]
Par Ali GUIDARA, conseiller scientifique À la veille de la célébration du 63e anniversaire de la Déclaration Universelle des Droits […]
Dans l’ère de nouvelle liberté soufflant sur la Tunisie, on commence à mieux distinguer, par recoupements successifs, la réalité de ce qui s’est passé en Tunisie, les causes immédiates et médiates de la révolution pour la dignité et la modernité politique, cette révolution que j’ai toujours nommée à dessein Coup du peuple pour être en phase avec la réalité que je supputais déjà.
Rached Jaïdane a décidé de porter plainte contre ses tortionnaires. Le code pénal tunisien, amendé en 1999, punit en effet de huit ans d’emprisonnement tout fonctionnaire public ayant fait usage de la torture dans l’exercice de ses fonctions. Une plainte qu’il n’a pu déposer qu’après la chute de Ben Ali. Avant, il y a fort à parier qu’elle n’aurait pas été instruite, ni même enregistrée. Au début d’un nouveau périple, il revient ici sur son calvaire.
Avant de prendre les rênes du pouvoir et sur les conseils de son ami Richard Pearl, le Premier ministre turc Erdogan s’était rendu en 2003 à Washington pour présenter ses lettres de créance. Aujourd’hui c’est à Rached Ghannouchi de quémander l’accord américain pour jouir en toute tranquillité du pouvoir tunisien.
Le plus petit commun dénominateur de la pensée économique actuelle est que la petite et moyenne entreprise sauvera la Tunisie. […]
Loin devant le CPR et Ettakatol et avec plus de 41 % des sièges, le parti islamiste Ennahdha est le grand vainqueur de ces élections de l’assemblée constituante en Tunisie. […]
Par Omar Aloulou. Un cygne “The Ocean floor is hidden from your viewing lens” “All my life i’ve been sewing […]
Suite à mes articles, je soupçonne mes amis islamistes de penser que Cheikh Dukhani n’est pas qualifié en théologie islamique. Il est vrai que Cheikh Dukhani s’appuie sur un théologien qui n’a étudié ni à El Azhar, ni à El Zitouna et qui peut donc tenir des propos que les islamistes pourraient juger hérétiques et non-conforme à la science islamique. Voici donc quelques citations du théologien sur lequel s’appuie Cheikh Dukhani.
Connaissez vous le film américain « Matrix » (le premier épisode parce la suite n’est qu’une diversion) ? eh ben, nous sommes tous dedans ! Parlons des faits qui nous concernent : le printemps arabes : La Tunisie en était l’étincelle, l’Egypte la consécration, la Libye le comble, la Syrie et le Yemen le piège.