Politics 2348

Lettre ouverte à Moncef Marzouki

Le degré de frustration, que ce soit sur le net ou autre part dont parle Moncef Marzouki, a atteint son paroxysme depuis longtemps, y compris et surtout dans la classe politique qui souvent se cherche des repères dans la surenchère et même dans la forfaiture, voire des fois dans la maladresse comme l’affaire de Moncef Marzouki sur Nawaat ou même cet appel […].

Le filament

A l’aube du Changement, les premiers jours de gouvernance de la nouvelle Tunisie, et pour redynamiser le tissu institutionnel, industriel et économique, Zine El Abidine Ben Ali a instauré une bonne pratique : les visites surprises. Une de ces visites a consisté, à l’époque, à se rendre à une usine de fabrication d’ampoules électriques. A l’aube du Change […].

De la vraie et de la fausse opposition de décor

Dans la masse des commentaires et des réactions suscités par les résultats des « élections » du 24 octobre dernier, plusieurs positions se sont dégagées. J’aimerai ici réagir au texte de Sihem Ben Sedrine vu le ton autoritaire qu’il emprunte et l’idée fantaisiste qu’il œuvre à imposer sur la nature du débat post 24 octobre. Dans la masse des co […].

Demain n’est pas un autre jour

Les simplificateurs de l’image de la dictature placent la propagande au centre de leur système pour exister réellement ; il est inévitable que la diffusion d’une image plus que retouchée du pays avec son lot de contre vérités qui sont autant de lieux communs à toutes les tyrannies et ce depuis l’aube du temps : miracle économique Les simplificateurs de l […].

الإستقلال : من البيت إلى الشارع

بعد سنوات تيه في منافي الأرض واللغة هاأناذا أ ُعيد للغتي سيادتها، و لقلمي هويته، ولورقتي سواد رسوم طالما سحرت شاعريتها عيني. إنها عبارة عن عودة إلى الذات، وممارسة إستقلال وجداني، باعتبار الذات كائناً مستقلاً بالقوة، وإ ن استُعبدت بالفعل. بعد سنوات تيه في منافي الأرض واللغة هاأناذا أ ُعيد للغتي سيادتها، و لقلمي هويته، ولورقتي سواد رسوم طالما سحرت شاع […].

To eat or not to eat, that is the right…question !

Lors de sa visite au dictateur tunisien, Jacques Chirac, ce beau-parleur, défenseur de tribune infatigable des droits abstraits de l’Homme, nous apprend que « le premier des droits de l’homme, c’est manger, être soigné, recevoir une éducation et avoir un habitat » Puis … il s’était tût, ignorant le calvaire des centaines de prisonniers, de leurs familles et de leurs enfants affamés et privés de pain, de soins et parfois de scolarité dans cette Tunisie qui, selon le défenseur zélé du geôlier tunisien, « est très en avance sur beaucoup de pays. »