Les deux artistes dansent avec leurs ombres projetées sur le mur. Leurs silhouettes semblent fragiles, à la merci de la brise de la Médina. Une performance artistique donnée dans un spot à couper le souffle, déniché par le festival Dream City.

Les deux artistes dansent avec leurs ombres projetées sur le mur. Leurs silhouettes semblent fragiles, à la merci de la brise de la Médina. Une performance artistique donnée dans un spot à couper le souffle, déniché par le festival Dream City.
Les zones humides constituent un important réservoir de biodiversité. Or elles subissent en Tunisie des agressions aux conséquences incalculables. La faune et la flore sont menacées. Et le coût humain risque d’être exorbitant.
La chanteuse, compositrice, musicienne et première femme à jouer professionnellement de la kora s’est produite le 24 septembre 2023 au Théâtre Municipal de Tunis, dans le cadre de la 9eme édition du festival Dream City. Un moment de pure sincérité et de beauté, et un discours exigeant sur le rôle de la musique dans les luttes actuelles.
Le film a décroché le Tanit d’or des JCC de 1977. Un demi-siècle plus tard, il semble aujourd’hui tendre un miroir à l’actualité des deux rives de la Méditerranée.
L’exposition “The Maps of Dignity” est actuellement hébergée à la bibliothèque Dar Ben Achour dans le cadre de Dream City 2023. Cette exposition explore les révoltes qui ont eu lieu dans les pays du sud de la Méditerranée depuis les années 50 à travers des cartographies et des récits individuels. L’historienne Leyla Dakhli et son équipe nous plongent dans une mémoire collective façonnée par les luttes pour la dignité.
Des personnalités politiques croupissent en prison en vertu d’un « usage abusif » de la loi tunisienne relative à la détention préventive, dénonce Amnesty international en pointant le régime de Kais Saied.
L’échec de l’Algérie à intégrer les BRICS, malgré son poids démographique, géographique, économique et financier, a eu un effet inattendu : il a fait perdre leurs illusions aux «Bricsistes» tunisiens qui rêvaient de voir leur pays y adhérer.
Mise en scène par Essia Jaibi, la nouvelle performance théâtrale de Jalila Baccar STIGMA a été l’une des œuvres les plus attendues pour le public du Dream City.
Olive- Gathering est un atelier de rencontre et de dégustation, initié par l’artiste palestinien Khalil Rabah dans le cadre des journées Dream City.
S’inspirant de la culture amazighe, Radouan Mriziga , chorégraphe marocain basé à Bruxelles, offre à son public une performance artistique pluridimensionnelle, à travers son projet Atlas/The Mountain.
Deux prestigieuses maisons publient la version française des « Carnets d’El-Razi », le 5 octobre en Algérie et en France. Et l’éditeur français qui ne pensait pas qu’un tel livre pouvait sortir en Tunisie a été choqué à sa lecture, lance l’auteur.
« Photo ou caricature ? » Nous ne répondrons pas à cette question ô combien brûlante dans cet éditorial. Nous laisserons aux experts du ministère de la Culture le soin de soupeser la gravité de notre «erreur». Cela dit, cet incident reflète d’une manière aussi fidèle qu’éhontée les péripéties caricaturales du Nouvel Ordre Saiedien.
Lorsque la réflexion dite rationnelle, arrive à justifier la mort, lorsque le souffle humain se perd dans l’abîme de l’indifférence, nous devons réexaminer les fondements de nos valeurs en tant que société. Aujourd’hui, j’ai honte.
Les Tunisiens dépensent 1 milliard 468 millions de dinars en cours particuliers durant l’année scolaire. Quant aux prix des fournitures scolaires, ils ne cessent de grimper au fil des années. La gratuité de l’éducation s’avère illusoire. Et ce sont les parents et leurs enfants qui en payent le prix.
La version arabe d’un livre de Virginie Despentes, a été renvoyée au Maroc par la douane tunisienne. « Un responsable m’a donné le motif verbalement : outrage aux bonnes mœurs », déplore son traducteur, Walid Soliman, qui a entre autres traduit Andrei Kourkov, Mario Vargas Llosa et Gisèle Halimi.
Les réseaux sociaux ont instrumentalisé le corps humain et en ont fait une matière première facile à façonner. Et cet énorme réseautage n’a rien de social : il s’agit d’un acte commercial à peine déguisé. Mais gare aux dégâts psychologiques.
Les Tunisiens se marient de moins en moins et divorcent de plus en plus. Lors d’une seule journée en juin dernier, 280 affaires de divorces ont été examinées par un tribunal, révèle une avocate spécialisée. L’institution du mariage vacille, secouée par de nombreux facteurs.
Innawaation est un incubateur de projets médiatiques créatifs, s’articulant en une série de résidences et d’événements. Ces collaborations se feront lors de sessions qui s’étendront sur 3 à 6 mois de travail.