Depuis le 14 janvier, il y a eu rupture totale entre le Ministère de l’Intérieur et une bonne partie des […]

Depuis le 14 janvier, il y a eu rupture totale entre le Ministère de l’Intérieur et une bonne partie des […]
Ce vendredi 12 août 2011, j’aurais pu être à Montreux, en Suisse, pour défendre les couleurs de mon pays aux 40è championnats du monde de scrabble francophone ou, à défaut, chez mon frère à fêter l’anniversaire de ma nièce. Le ministère de l’injustice et celui de la torture morale et physique en ont décidé autrement. Ils se sont ligués contre moi pour me faire découvrir l’enfer d’un pays que j’aime beaucoup sans avoir jamais aimé ses dirigeants, 55 ans durant.
D’abord, il y a eu la déconstruction du symbole Bouazizi…Toutes sortes de manœuvres tendant à discréditer la personne post mortem. Pendant des semaines, on nous a seriné toutes sortes d’hypothèses, plus ou moins vérifiables, mais toutes destinées à ‘démystifier’ l’acte fondateur de la Révolution. Il n’était qu’un simple voyou qui passait son temps à se saouler, Fadia ne l’a jamais giflé, il l’aurait même insultée, voire agressée physiquement, il n’a jamais eu de diplôme universitaire et j’en passe.
Comment analyser le parti Afek Tounes ? Pourquoi est-il considéré comme un parti RCD ? Est ce qu’il fait de […]
Mise à jour : Suite à cette article sur la situation dramatique du bléssé de la révolution Rached El Arbi, l’équipe de Al Jazeera Moubacher s’est rendue, le lundi 15 Aout 2011, chez la famille El Arbi pour une émission en direct durant la rupture du jeûne.. […]
Je suis tombé sur un groupe Facebook qui appelle à un referundum sur laonstitution à la place des élections du […]
Cette semaine nous fêtons sept mois de « liberté » conçue, transportée et exportée par Internet, cependant cet ingénieux moyen de communication se retrouve dans la balance de la justice Tunisienne […]
Les médias nous imposent chaque jour un nouvel héros, un personnage qui aurait vaillamment désobéi, et ce au péril de […]
Par Ahmed Ben Mustapha Suite à l’article de Nizar Bahloul du 4/07/2011 intitulé « que cherche à cacher le ministère […]
La scène journalistique tunisienne connaît depuis plusieurs années une crise identitaire et professionnelle profonde. Entre asservissement à l’ancien régime et recherche de nouveaux modes opératoires qui tardent à venir […]
Le groupe Mabrouk gère plus de 9000 employés directs et génère près de 900 millions d’euros de chiffre d’affaires. L’enrichissement par alliance des Mabrouk suite au mariage de Marouane avec Cyrine Ben Ali en 1996 est évident […]
Nous le savons tous : l’ancien chef d’Etat tunisien est un criminel ! Pourquoi, alors, intenter un procès contre lui ?! Pour formaliser cette certitude, le condamner à une quelconque peine et avoir un jugement susceptible d’être exécuté, dans l’objectif de nous venger contre lui ?! Nous ne l’aurons jamais, il ne se rendra point, il ne foulera plus le sol de la Tunisie, j’en ai une conviction profonde ! L’histoire nous enseigne que les dictateurs qui avaient fuit leurs pays, n’y sont pas revenus ! Et pourtant, ce procès, tant attendu, s’avère utile, s’il obéit à certaines conditions…
Qu’à l’attention des francophones, Antoine Sfeïr soit devenu le thuriféraire et le plumitif attitré de Ben Ali, ce fut son choix. Mais qu’il ait le minimum de pudeur aujourd’hui pour assumer la critique de ses actes. Quant à moi, je ne me limiterai pas à ces critiques. Avec des confrères avocats, nous sommes en train d’étudier les moyens juridiques afin de monter un dossier contre monsieur Sfeïr en vue de la restitution des sommes perçues par ce mercenaire sur l’argent du contribuable.
Par Ilyes Saanouni – Mercredi 18 Mai 2011. 13h. Je déjeune avec une charmante amie aux Fontaines et elle me raconte son 14 Janvier. Elle est inquiète pour la Tunisie. J’essaie de la calmer, de partager mon indéfectible optimisme sur ce sujet. Quelques heures auparavant j’étais au Consulat général de la Tunisie à Paris d’où je ressortais agréablement surpris par la sympathie dont font désormais preuve les fonctionnaires tunisiens sur place. A ce moment-là tout va pour le mieux, on en est pas encore au report des élections, les thuriféraires du régime de Ben Ali sont à la caserne militaire, les messages d’espoirs affluent de partout. Tout va pour le mieux.