Par Dorra Ben Amri Ouannes La bulle extrémiste : elle est constituée d’hommes, de femmes et d’enfants. Au niveau économique […]

Par Dorra Ben Amri Ouannes La bulle extrémiste : elle est constituée d’hommes, de femmes et d’enfants. Au niveau économique […]
Par Med Hedi Bacouche. La conjoncture internationale nous amène à réfléchir sur l’avenir du tourisme dans notre pays sachant que […]
Le risque du partage du pays n’a jamais été aussi grand. Et cela nous ramène quelque 62 années en arrière, aux heures sombres où l’Europe de l’après-guerre, ruinée par ses propres démons, cherche à se reconstruire, sur le dos des peuples colonisés. En infâme butin de guerre qu’on disait au détriment de l’Italie fasciste (sic), M. Ernest Bevin pour la Grande Bretagne, en accord avec M. Carlo Sforza représentant l’Italie, présenta, début mai 1949, un plan de partage de la Libye en trois zones, la Cyrénaïque (Barqa) aux Britanniques, la Tripolitaine pour les Italiens, et le Fezzan pour les Français.
« Aube de l’Odyssée », quel nom poétique ! Ceux qui baptisent les opérations militaires ont toujours un message derrière le nom. Dans leurs académies, les militaires étudient les guerres qui ont marqué l’histoire, et à leur tête les batailles et les stratégies de notre illustre Hannibal. Celui qui a accouché de ce nom a sans doute lu l’Odyssée d’Homère. À l’aube de l’Odyssée, il y a eu la guerre de Troie qui a duré dix ans. Ulysse, errant en méditerranée pendant dix autres années, a laissé derrière lui une ville détruite et une population massacrée.
Depuis quelques semaines, j’observe avec inquiétude les divisions profondes (genre qui impliquent la haine d’autrui) qui s’installent progressivement dans notre société civile et dans le débat politique et intellectuel. Je voulais donc réagir pour exprimer mon point de vue sur le sujet et essayer de suggérer humblement quelques solutions. Cet article aurait pu être intitulé «politique du compromis».
Interdiction des images : voici les dernières revendications de certaines personnes extrémistes, ou plutôt orthodoxes de l’Islam. Même si ces commandements sont encore timides ils demeurent foncièrement à visées intimidatrices. Cela nous pousse sérieusement à réfléchir à l’attitude que nous devrions prendre face à ces amalgames et incompréhensions des un(e)s et des autres.
[…] l’analyse qui va être entreprise dans la présente étude laisse apparaître néanmoins que les futurs candidats de cette Assemblée Constituante seraient favorables à la continuité de la politique de BEN ALI, notamment en brandissant la menace de l’islamise sous couvert des droits de l’homme, en revendiquant une laïcité excessive à travers un féminisme exagéré […]
Arrêté le 14 janvier, quelques minutes à peine après que l’ancien chef de l’Etat tunisien Zine El-Abidine Ben Ali eut pris la fuite à bord de son avion, le chef de sa garde présidentielle, Ali Sariati, demeure un personnage mystérieux.
Par Hizem Mohamed Elhache La première question que je me pose, c’est d’essayer de comprendre le pourquoi de l’état de […]
Par Gadhoumi Atef Le sondage d’opinion “Les tunisiens et la politique après le 14 janvier” fut réalisé du 1er au […]
Par Fathi Kemicha – Le spectacle de l’ouverture des coffres-forts de la résidence personnelle de l’ancien dictateur ne doit pas occulter la question des rapports entre certains milieux d’affaires et l’ancien président et sa famille élargie […]
L’Association de Lutte contre la Torture en Tunisie ( ALTT) a publié le 24 mars dernier un rapport succinct relatant le témoignage d’un handicapé tunisien, victime de torture pour avoir participé au sit-in 2 de la Kasbah. Ce Monsieur s’appelle Mohamed Sedki Hlimi, 35 ans, originaire de la ville de Kasserine, une des bastions de la révolution tunisienne où le lot des martyres a été particulièrement lourd.
On dit de M. Rajhi qu’il a su faire montre de courage et de détermination en purgeant une partie du système sécuritaire Benalien malgré les menaces et les hostilités auxquelles il a dû faire face. Il vient pourtant d’être démis de ses fonctions par le premier ministre pour présider le « Comité Supérieur des Droits de l’Homme et des Libertés Fondamentales ». Une belle planque ou un lot de consolation pour un ministre populaire qui a su apaiser les esprits…pour un bref moment du moins.
Par Dorra Ismaïl, Wafa Khlif & Mehdi Dellagi – L’échéance du 24 juillet est de plus en plus proche. Notre maturité politique présuppose une conscience de ce qui fait notre être en tant qu’entité ayant une histoire, une culture et une durée géopolitique. Or les discours des un(e)s et des autres sur les termes tels que Laïcité, Islam, État, Modernité, Démocratie…mettent en exergue les amalgames et les confusions de tous bords.
L’enjeu démocratique réside au niveau des mécanismes qui vont garantir les libertés fondamentales et l’État de droit. Des mécanismes pour lesquels aucune concession ne devrait être tolérée. Dès lors, la disposition constitutionnelle “Islam religion d’État” doit se juxtaposer à ces mécanismes pour les reconnaître et garantir leur compatibilité et non point pour les défaire. D’autant plus que des approches à la logique analogue ont remarquablement bien réussi.
Par Ferid Belhaj – A l’orée de cette démocratie que nous avons appellé, certains plus forts que d’autres il est vrai, de nos voeux, il est naturel que des questions primordiales pour l’avenir du pays soient posées.
Par Nadia Omrane – Plusieurs dizaines de jeunes diplômés d’éducation physique ont fait à pied, en une semaine, le chemin qui mène de Kasserine à Tunis […]
Par Mehdi Ayadi – Un théocrate qui se voulait modéré a tenu un discours appelant à la haine et à la violence : il ne faut pas voter aux ennemis de la religion. Ennemi de la religion pour Mourou veut certainement dire les laïcs. Est ce que nous avons besoin d’un tel discours ? Est ce qu’il a la légitimité de définir ainsi les gens qui n’épousent pas les mêmes thèses que lui ?