La Révolution tunisienne n’échappe pas aux lois du genre expérimentées par toutes les révolutions dans le monde : après l’action, place à la rétroaction. Ainsi, après la liberté, vient le temps pour les mesures restrictives, sinon liberticides, et qui sont à la mesure de la place occupée par l’espace de liberté octroyé au peuple par sa révolution.
