Comment ne pas aimer ce garçon qui, tout en remettant en cause la fausseté du mariage arrangé, pose de vraies questions à sa fiancée imposée ? A celle qu’il aime, il trouve le moyen de lui déclarer indirectement son amour en parlant du 14 janvier « pendant quelque temps, on a eu l’impression que tout le monde s’aimait ».
“Aziz Rouhou” : le désarroi d’une spectatrice
Narcisse voulait traiter à la fois de l’homosexualité, de la détresse conjugale, du divorce, de la violence et de la folie conjugale, de l’intégrisme religieux, de l’amour passionnel, de l’émancipation de la femme, de l’amour et de la crise du théâtre. C’est vrai que tout ça pourrait faire un beau tableau, mais vous ne pensez pas que c’est un peu trop pour un seul film ? Surtout avec un tel scénario ?
De quelques films tunisiens : Triomphes de la domination
Réalisateurs, producteurs et officiels se gargarisent ces dernières années de la liberté d’expression retrouvée. Mais que nous disent réellement les films de la Tunisie ? Que nous montrent-ils du monde ? Et avec quels moyens procèdent-ils pour ce faire ?
A Gafsa, la culture est dans le café
Dans le désert culturel de Gafsa, le café Downtown est rapidement devenu le repère des jeunes avides de cinéma, de musique et de lecture. Une initiative pionnière dans la région qui entend remettre la culture au cœur de la cité.
Nadia El Fani fait son Cinéma ?
Une lettre ouverte signée par Nadia El Feni a été adressée à la direction du Festival International de Carthage. Dans sa lettre, Nadia El Feni accuse le directeur du festival, Ibrahim Letaïef, d’avoir ignoré son film « Même pas peur », grand prix du documentaire au festival Fespaco 2013 et d’avoir censuré sa projection aux JCC.
En Tunisie, des salles de cinéma renaissent de leurs cendres
Alors que s’achèvent demain les Journées Cinématographiques de Carthage, nous sommes allés découvrir deux salles de cinéma, qui, plongées dans l’oubli depuis de nombreuses années, ont rouvert leurs portes en octobre et novembre 2015. Reportage.
Du cinéma derrière les barreaux
Projeter des courts-métrages pour les détenus dans les prisons, c’est ce que propose l’Association Culturelle Tunisienne pour l’Insertion et la Formation (ACTIF), dans le cadre de son projet « Joussour » (ponts). Retour sur une initiative artistique et humaine qui voyage de prison en prison pour adoucir les peines.
Des artistes et des professionnels du cinéma tunisien annulent leur participation au Festival de Locarno 2015
La Campagne BDS Tunisie félicite les réalisateurs et les professionnels du cinéma tunisien: Mohammed Ben Attia, Imen Dellil, Raja Amari, Nejib Belkadhi, Nadia Rais, Dorra Bouchoucha, Lina Chaabane et Badi Chouka d’avoir annulé leur participation au festival de Locarno 2015.
Mise au point de la part des cinéastes tunisiens invités au festival de Locarno.
Nous, cinéastes tunisiens invités par le festival de Locarno pour y défendre nos œuvres et nos projets, souhaitons communiquer ce qui suit : 1- Nous nous insurgeons, et continuerons de nous insurger, contre le partenariat entre le festival de Locarno et l’Israeli Film Fund dans le cadre de la « carte blanche » (rebaptisée « first look ») accordée à Israël par la direction du festival de Locarno. Un an à peine après les massacres de Gaza qui ont fait 2000 morts dont 500 enfants…
Festival de Locarno 2015 : Propaganda Productions retire ses deux projets…
En réaction au partenariat du festival de Locarno 2015 avec l’”Israeli Film Fund” dans le cadre de la carte blanche donnée à Israël, et au bout d’une semaine de négociations infructueuses avec la direction du festival pour annuler ce partenariat, Propaganda Productions retire…
Quel cinéma veut-on faire en Tunisie ? Et comment les JCC pourraient-elles le promouvoir ?
C’est une question essentielle qui vient à point nommé alimenter un débat devenu indispensable. La situation actuelle l’exige car on ne peut, en ce moment de reconstruction de la Tunisie, occulter une question aussi importante que celle de la production des images, leur faisabilité, les normes de leur production, leur promotion etc…
L’ancien régime cinématographique en quête de sens
A l’image du projet socio-économique de l’ancien régime auquel ils ont appartenu et appartiennent toujours, le projet de l’ancien régime cinématographique est un projet totalitaire. De retour aux commandes à travers une relative majorité au parlement à travers Nidaa Tounes et éventuellement à travers aussi l’élection d’un sénile tortionnaire de 88 ans au deuxième tour des présidentielles, les bourguibo-benalien s’enhardissent. Du haut de leur autorité policière, cette « police de la pensée » ne manquera certainement pas, à l’image de cet opuscule, de nous asséner ses vraies valeurs : autoritarisme, corruption, manipulation, servilité et régression.
Critique du dernier film “Samba” d’Olivier Naccache et Éric Toledano
Le dernier film d’Éric Tolédano et Olivier Naccache « Samba » avec Omar SY et Charlotte Gainsbourg, adaptation du roman Samba pour la France de Delfine Coulin à l’écran, est un hymne humaniste en faveur des « sans-pap » (les sans papiers) ; ces troubadours des temps modernes qui se déplacent de continent en continent pour tenter de tirer leur épingle de cette lutte du tous contre tous ; risquant de plus en plus d’y laisser cette peau qu’ils sont prêts à sacrifier, au plus offrant, dans cette grande foire mondiale où tout se vend et s’achète.
« 7½ », le nouvel opus de Néjib Belkadhi entre espoir et désenchantement révolutionnaire !
Comment auraient réagi certaines figures du documentaire de Néjib Belkadhi, si celui-ci leur avait posé, en 2011, la question suivante : « imaginez-vous les Zouari, Zneidi, Jgham, Ghariani, etc. revenir discourir sur les médias, y compris publics, pour évoquer leurs projets pour la démocratie tunisienne et pour la consolidation des libertés fondamentales des Tunisiens ? » Et, pourtant, c’est justement ce qui est en train de se passer. Il ne manque plus que Ben Ali et Leïla pour que toute la famille fut à nouveau réunie !
50 ans après, comment réinventer le FIFAK ?
Malgré toutes les tempêtes qu’il a traversé, le Festival International du Film Amateur de Kelibia résiste toujours. Première du genre, en Afrique et dans le monde arabe, cette manifestation fut assurément le berceau du 7ème art en Tunisie. Fondée au lendemain de l’indépendance, en 1962, la Fédération Tunisienne des Cinéastes Amateurs y a assuré 29 sessions, dans des contextes politiques différents et difficiles.
Quand la victime rencontre son tortionnaire : “les Voies du destin”
La plupart des tortionnaires de Ben Ali n’ont toujours pas rendu des comptes, ni à leurs victimes ni à la société. Pire encore, celui qui fut le secrétaire général du parti “grand ordonnateur” de ces atrocités, en l’occurrence, Mohamed Ghariani, se retrouve aujourd’hui assis à côté de Béji Caïd Essebssi, au sein d’une organisation qui aspire à gouverner la Tunisie. Le tout comme si de rien n’était !
Le Festival International du Film Amateur de Kélibia fête ses 50 ans de cinéma alternatif
Lors d’une conférence de presse, tenue à la salle du cinéma Le Rio, à Tunis, la direction du Festival International du Film Amateur de Kélibia (FIFAK) a présenté la programmation de cette édition spéciale. Ce festival qui a survécu à toutes les crises fête, en cette année 2014, ses 50 ans d’existence. Pendant une semaine, du 17 au 23 août, dans le théâtre de plein air de Kélibia, des cinévores découvriront des films venus de 25 pays.
« Une mise au point à travers quelques fragments du parcours d’une comédienne de la série Maktoub », par Nadia Boussetta
En réponse à ce que j’ai lu le matin du 01 juillet 2014, dans un communiqué de quelques lignes publié […]