Liberté d’expression 194

Culture : Le Monde du 4ème Art en Tunisie

En Tunisie, même si c’est le protectorat français qui a contribué à l’installation puis à la diffusion du théâtre, ce à partir de la fin du 19ème siècle jusqu’aux débuts du 20ème, il va sans dire que le 4ème Art tunisien a su se doter depuis d’une identité et d’une généalogie bien spécifique. Qu’en est-il aujourd’hui, bien des années ultérieurement ? Après tant de changements générationnels, sociaux et humains ?

Bilan d’un an de “légitimité” : La culture, un secteur porté par ses acteurs et non par ses gouverneurs

Au moment des élections du 23 Octobre 2011, les attentes étaient grandissantes. Politiques, sociales, économiques, culturels, professionnelles. Légitimes. Au bout d’une année de « constituante », constitutive et symptomatique, dans tous les cas, essentielle, fondamentale et caractéristique d’un pays en (re)construction, qu’en est-il de notre « Culture »?

Liberté d’expression ? Ce n’est pas pour demain…

Ben Ali est parti le 14 Janvier et les tunisiens ont pensé qu’ils avaient tourné la page de la répression et qu’ils pourraient maintenant critiquer et demander des comptes à leurs gouvernants et politiciens. Mais depuis l’arrivée de la troïka au pouvoir, la liberté d’expression est bafouée, le nombre de procès augmente de jour en jour…

Tunisie : Quand l’art devient lutte

Il paraît que l’art permet à l’être humain de rêver. Ça c’est pour le premier rôle. L’art est aussi un un baromètre. Il sent la société, perçoit ses mouvements, s’en inspire et donne à voir. Et puis il finit toujours par représenter le monde et surtout par le transformer. C’est que l’artiste doit être précurseur et doit nous faire réfléchir à travers ses œuvres. L’art et la culture doivent nous permettent d’élever notre esprit et notre condition.

إنتاج المعنى وعقم التّقبّل

بقلم ناجي الحجلاوي – تندرج فقرة قصيرة حرّرها المهندس نبيل الحجلاوي على خلفيّة الحوادث الأليمة الّتي شهدتها مدينة سيدي بوزيد وقد ضرب فيها مثلا، واعتبر أنّ مَثَل فريق الجيش الّذي لم يتصدّ للأيادي الآثمة الّتي أحرقت الأخضر واليابس من المرافق الحيويّة كمثل الفئران الّتي تتطالّ من جحورها ولم يقل إنّ أفراد الجيش فئران وشتّان بين التّعبيرين. وليس المقصود بالعبارة الّتي استعملها الضّحيّة المعتقل الحطّ من قيمة الجيش الوطني وإنّما القصد أن يربو بشأن الجيش الوطني أن يكون فاعلا لما تفعله الفئران

C’est la liberté d’expression qu’il faut sacraliser

« Je présente mes excuses au peuple tunisien pour la diffusion sur Nessma TV, de la séquence controversée et jugée blasphématoire, représentant l’être divin dans le film d’animation franco-iranien ‘Persepolis’ et je considère cela comme une erreur qui ne se répètera pas ». C’était le moment de courbette de Nabil Karoui […]