Lorsque les bourreaux d’hier obtiennent des promotions et deviennent des stars sollicités par la télé pour s’exprimer librement, c’est que […]
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Lorsque les bourreaux d’hier obtiennent des promotions et deviennent des stars sollicités par la télé pour s’exprimer librement, c’est que […]
L’anecdote se passait sur un trottoir de Tunis par une fin d’après-midi ensoleillée. En compagnie de ma femme, nous partions […]
Lors du sit-in des professeurs et étudiants devant le ministère de l’enseignement supérieur appelant à mettre fin à cette histoire […]
Cette lettre ouverte au président, m’a été transmise par Saddam Ben Youssef, un étudiant en Licence de lettres françaises à la […]
Par Monia Halioui*, La Faculté des Lettres, des Arts et des Humanités de Manouba (environs de Tunis) est actuellement occupée […]
Les événements que vit la faculté des Lettres de La Manouba continuent de susciter des réactions diverses. Selon affinités pour […]
Par Aaron Y. Zelin. Traduit de l’anglais vers le français par Emna El Hammi – Depuis les élections libres et justes le mois dernier en Tunisie, l’attention s’est surtout portée sur la victoire du mouvement Ennahda, la formation d’une Assemblée constituante qui aura en charge d’écrire une nouvelle constitution et la reconstruction de l’économie en ruine. Pourtant, ces questions importantes menacent de masquer un autre défi important à la démocratie naissante du pays: le salafisme.
La tournure qu’a pris l’affaire Nesma TV suite à la diffusion en dialecte tunisien du film franco-iranien “Persepolis” est révélatrice […]
Une fin de semaine si agitée en Tunisie après la diffusion de NessmaTV du film Persepolis de la productrice franco-iranienne, […]
Les Tunisiens n’ont surement pas le droit de s’arrêter en si bon chemin. C’est leur responsabilité morale envers leur pays, et ils doivent scrupuleusement l’honorer. Voilà ce que chacun de nous devrait opposer aux agissements des fouteurs de trouble, aux réactions épidermiques et à la cacophonie de leurs compères, opportunistes notoires et révolutionnaires de la dernière heure toutes catégories confondus.
L’attaque du cinéma AfricArt le dimanche 26 juin 2011 est inqualifiable et l’agression de son directeur Habib Belhedi est un acte grave contre l’un des actants de la vie culturelle tunisienne des plus actifs. Ce qui aggrave ces actes c’est l’indifférence ambiante et l’impunité la plus totale dans laquelle ce déroule ce vandalisme et cette sauvagerie. Nous sommes en danger, nous commençons la mutation. Réactions éparses : quelques politiques condamnent timidement, d’autres accusent les organisateurs de provocation. Déjà en panne de praxis culturelle le ministère de tutelle regrette du bout des lèvres. Quelle hypocrisie générale !!!
Deux fonctionnaires tunisiens ainsi que trois de leurs compatriotes, ont été reconnus coupables et condamnés à des peines allant de […]
La burqa est-elle incompatible avec la nationalité française ? Une Marocaine de 32 ans, mariée à un Français et mère […]