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En finir avec l’extractivisme ?

Les modèles extractivistes préconisent l’intensification des cultures irriguées, même dans des régions arides. Cela implique une exploitation outrancière des réserves d’eau souterraines, pour des cultures très gourmandes et exigeant le recours à des intrants souvent nocifs à l’environnement et à la santé des ouvriers agricoles. Or le retard de développement que vivent de nombreuses régions du pays compliquent la donne.

Au Gardien-Chef de la fac : Petite Histoire de Ta Bêtise

Car c’est bien de cela dont il s’agit. Oui, ta bêtise… Tout ce que je dirais t’a déjà été dit. Je n’ai aucun doute que tes larbins te l’ont fait parvenir via captures, lettres recommandées et Stoufidèt bien ficelées et numérotées au bureau d’ordre. Je ne dirais rien de nouveau mais j’ai juste eu envie de lui donner un nom.

La Tunisie se dote d’une nouvelle classe politique

En cette année 2019 et en l’espace d’un mois, les Tunisiens ont dû se rendre aux bureaux de vote trois fois de suite, pour renouveler leurs principaux représentants à la tête de l’Etat. Le 06 octobre pour les élections législatives et les 15 septembre et 13 octobre pour la présidentielle anticipée, suite au décès le 25 juillet dernier de l’ancien président de la République, Béji Caïd Essebsi. Globalement, les taux de participation ont été assez faibles, même s’ils ont connu une augmentation significative lors du second tour de la présidentielle.

Pourquoi j’ai voté Kais Saïed

Pour la première fois de ma vie, j’ai eu peur en allant voter. L’idée que Karoui, dont on a vu les dégâts qu’il a pu occasionner avec une chaîne de télévision, arrive au pouvoir et puisse disposer des moyens de l’Etat m’était tout bonnement insupportable. Il fallait s’y opposer démocratiquement. Les libertés et l’esprit de la révolution étaient en jeu.

Présidentielles 2019 : Voter, c’est exprimer un principe et non un renoncement

Je n’ai jamais souhaité m’exprimer sur un sujet politique. La musique est mon domaine, le moyen par lequel je communique avec mes contemporains et il me suffit amplement. Pourtant, si je cède aujourd’hui au besoin de partager mes réflexions, c’est que je m’en voudrais de ne pas avoir fait entendre une voix que je crois raisonnable, quand la Tunisie se trouve à l’un des tournants décisifs de son histoire. Le 13 octobre, jour du deuxième tour des élections présidentielles, les Tunisiens seront devant un choix dont les conséquences se répercuteront pendant plusieurs années.