Toujours la même semaine ou se déroule cet acte insensé qui dit le désespoir d’une jeunesse coincée entre le risque d’une noyade en tentant la « Harga », le recrutement dans les rangs « jihadistes » , l’immolation tout court

Toujours la même semaine ou se déroule cet acte insensé qui dit le désespoir d’une jeunesse coincée entre le risque d’une noyade en tentant la « Harga », le recrutement dans les rangs « jihadistes » , l’immolation tout court
Les dernières péripéties du geste d’Amina et le plus récent événement artistique et culturel représenté par le beau film du talentueux Kechiche viennent jeter une lumière crue sur un phénomène ayant cours en Tunisie et qui voile sa révolution exemplaire tout en explicitant l’une de ses motivations premières si vite oubliées…
Mis à part toute sorte de “faux nationalisme” qui pousse les uns à dire que Kechiche est français et les autres à le dire tunisien, et loin de polémiquer sur le sujet de l’homosexualité qui n’est guère un sujet de priorité pour la Tunisie, voici dix raisons qui plaident en faveur de la projection du film “La vie d’Adèle” de Abdellatif Kechiche dans nos salles tunisiennes.
Lors de notre dernier épisode, nous avons pointé le doigt vers le Taghut, ce grand singe qui veut imiter Allah et se faire adorer à coups de mensonges, de rites stupides et d’interdictions de pensée.
Je tenterai d’analyser le phénomène sociétal de l’intégrisme en Tunisie, laissant de côté la dimension politique ou encore socio-économique. L’intégrisme est à prendre ici dans son sens le plus large, c’est-à-dire le fait de vouloir assujettir l’Autre aux mêmes habitus du groupe.
Je livre ici une réflexion qui va heurter le conformisme ambiant, mais qui n’est pas moins véridique : l’islamisme fondamentaliste n’a rien d’islamique, il est une pure création judéo-chrétienne ! Qu’on se le dise donc : le salafisme de nos rues relève de la tradition judéo-chrétienne qu’il perpétue en islam;
Le rapport que les mouvements intégristes entretiennent avec la violence peut prendre des formes différentes selon la nature du courant considéré, son école théologico-politique, son encrage social, les profils et les trajectoires de ses dirigeants et selon le contexte socio-politique du pays concerné.
Quand Hajj Dukhani a un mot utilisé dans le coran à expliquer, il fait partie de ceux qui ont la fâcheuse habitude de googler le coran et demander à Allah de le lui expliquer. Il s’agit d’une pratique devenu obsolète chez les musulmans d’aujourd’hui qui laissent libre court aux Ouistitis qui adorent fouiller dans le caca rédigé par les faux savants dans la fausse chariaa d’Allah.
Après la « révolution » tu as brusquement changé de cible. Tu t’es attaqué aux hommes politiques et aux intellectuels? Est-ce par opportunisme ? Est-ce parce que tu as voulu te valoriser en tant que journaliste ? Ou est-ce parce que la liberté d’expression est devenue trop facile ?
Contrairement aux intellectuels Tunisiens, Hajj Dukhani n’est pas impressionné par la pseudo légitimité de ceux qui braient l’islam en brandissant un torchon en tissu qu’ils disent être le drapeau d’Allah. Voyons voir de quoi il s’agit comme exercice coranique et pratique de discernement du faux du vrai…
Avertissement traditionnel : Vous êtes ici au niveau 10 de l’hérésie islamique par le coran. Ceux qui ont appris l’islam en prenant les cheikhs pour maîtres seront profondément et affreusement choqués. Ils sont gentiment priés de QUITTER IMMEDIATEMENT cet article.
Face aux jérémiades de nos « démocrates » qui en bons « théologiens critiques » nous invitent à rejoindre leur « Front Républicain » et de dissoudre notre « Front Populaire », voici un conte de la lutte de classes en Tunisie.
Le scénario paraissait au départ fort improbable. Impensable même ! Mais les jours passant, ses contours se mettent pourtant peu à peu à se préciser. Et il apparaît alors clair qu’un tel scénario a bien été pensé, réfléchi, et mis à exécution à grands renforts de ‘liquidités’.
La violence, aujourd’hui, s’est fortement renouvelée dans les significations de ses expressions les plus concrètes, et nous insisterons ici, pour l’essentiel, sur les changements qui l’informent depuis la Révolution Tunisienne.
Le procès de Nizar Bahloul en première instance devant le tribunal de l’ariana ( affaire Nº 1180/6144/2012 ) a débuté comme prévu le 23/04/2013 après l’acceptation de son opposition au verdict prononcé en date du 8/01/2013 le condamnant par défaut à quatre mois de prison ferme.
Bonjour, c’est moi Aïcha*, je n’ai plus 12 ans, je ne vis plus dans l’immense villa aux berges du lac… je vis dans la rue…Mes années villa se sont écoulées très lentement, entre la vaisselle, le ménage et les marmites, rythmées par les cris de la maitresse de la maison, les coups de gueule de monsieur et les caprices des gamins.
Petit comptoir fondé en 1100 avant JC par les Phéniciens, pointe de la Tunisie et pointe de l’Afrique, la ville de Bizerte a une position géostratégique unique et exceptionnelle. Or aujourd’hui un scandale couve dans la ville : le projet Marina Cap 3000.
À quelques jours de la fête du Travail, voici les différents états-majors des partis au pouvoir ou dans l’opposition qui s’activent pour célébrer la journée sans rien y apporter de nouveau, sinon des slogans creux. La principale centrale syndicale de son côté semble s’en tenir à ses mots d’ordre habituels sans rien de bien concret alors que notre Révolution, dont elle est l’un des acteurs majeurs, dérive en douce vers la dictature du conformisme et la politique de la vacuité d’une pratique immorale de l’exercice du pouvoir.