Society 1406

La Tunisie : Influence et injonction islamiste

Par Mohamed Amine Abassi – Quand le pouvoir est point de tréfilage entre les différents acteurs politiques, le dépassement des libertés personnelles ne fait plus sujet d’actualité, l’espace réservé à la dénonciation de toute atteinte de la décence de l’individu régresse. L’opinion publique tourne le dos à certaines pratiques dans la rue […]

La rhétorique du diable

Pour comprendre ce qu’il se trame, il faut se tenir très proche de ses ennemis…Quel est ce serpent du Moyen-Orient qui siffle sur nos têtes ? Quel est ce nouvel Islam qui tente de s’installer chez nous et qui cherche à détrôner le culte bien tranquille de nos mères et de nos grands-mères ?

Si j’étais Satan

Au début du 7éme Siècle, Dieu a envoyé un messager nommé Mohammed (saws) pour réciter un livre appelé Coran. Dans ce livre, Dieu appelle à la tolérance, à ne suivre que Dieu, à ne suivre que sa parole à ne pas faire de distinction entre ses messagers. Parfois, je me demande, si j’étais Satan, ce que j’aurais fait pour contrer le message Divin.

Madame Souad Abderrahim, le diamant de la Tunisie

Aujourd’hui, il nous est donné un nouvel exemple de cette politique de l’autruche où la majorité se complait. Souad Abderrahim qui siègera bientôt dans l’une des 89 places accordées au parti Ennahdha pour écrire la Constitution de la Tunisie post-révolutionnaire illustre cet état d’autisme collectif dans lequel les Tunisiens semblent enfermés. Dans son interview donnée sur les ondes de radio Monte Carlo, madame Souad pointe d’un doigt accusateur et incendiaire les mères célibataires et les enfants nés hors mariage.

On nous a volés une fois… Pas deux !

La démocratie, nous devons tous en convenir, ne peut aucunement se décréter d’un trait de plume. Elle ne peut non plus prendre pleinement forme du jour au lendemain. Il s’agit là d’un processus “civilisationel”, lent et long, impliquant un profond changement dans les mentalités comme dans les pratiques, et devant faire appel à des institutions aptes à le conduire.

حتّى يموتوا كبار الحومة

أخطّ لكم هذه السطور وأنا لم أغادر بعد الديار التونسية، أو على الأصحّ المياه التونسية، فأنا جالس الآن في الباخرة التي تعود بي للمرّة الواحدة والسبعين بعد المائة ألف إلى أوروبّا، مخلّفا ورائي تونس جديدة، وشعبا يتجدّد، ويتعلّم، ويؤسّس… فتونس التي أغادرها اليوم ليست هي تونس التي غادرتها السنة الماضية ولا السنوات التي سبقتها…