Aujourd’hui en Tunisie, le régime de Ben Ali est tombé dans l’oubli, emportant avec lui l’injustice et la corruption sociale. Depuis le 14 janvier 2011, les tunisiens se sont libérés et montrés dignes de cette « offrande » méritée ; ils se sont mis à l’œuvre et ont réussi en un temps record, après neuf mois, leurs premières élections libres de l’Assemblée Constituante, la plus importante institution légitime après la révolution.
