Un point de vue sur la religion, la politique et la laîcité

A travers les publications de ces jours, nombreux sont les commentaires sur la religion, sur la politique et sur la laïcité. Les uns écrivent et d’autres partagent … Les uns rédigent et d’autres commentent … Les uns soutiennent et d’autres s’opposent. Tout ceci pour dire que cette nébuleuse est complexe, et qu’il arrive que les différents points de vue, donnent naissance à une série de divergences entre amis ; divergences de principes, d’idées, de phrases, de mots et même de ponctuation !

La médecine tunisienne serait elle malade.

Par Dr Badr Miled – L’hôpital Tunisien. Structure normalement formatrice des générations futures de médecins, souffrant depuis des années d’inégalités affreuse entre les grandes villes (Tunis, Sousse, Sfax et Monastir) et les autres. Inégalité qu’a essayé de combler le ministère depuis deux ans en obligeant les nouveaux assistants hospitalo-universitaires à passer une année à l’intérieur sans se soucier de leur offrir les conditions de transport nécessaire dans une situation qui coïncide pour une majorité d’entre eux avec un besoin familial

Un homme égale deux femmes

Par Zina Roumi – Une révolution ne fait jamais table rase du passé. Le lien qui nous unit dans l’espace et dans le temps à la pensée des générations d’hommes disparues s’appelle une tradition. La Tunisie est un pays de tradition musulmane. Je ne parlerai pas de Dieu, car c’est une question de foi, mais de religion, c’est-à-dire de la façon dont les hommes interprètent, diversement au fil des siècles, le contenu d’une révélation.

La Tunisie doit honorer sa dette

Par Slim Dali – Un article paru sur Nawaat est en faveur de l’annulation de la dette en Tunisie. Les limites de cette demande ainsi que la situation budgétaire de la Tunisie, amènent à concevoir que le pays doit payer sa dette et solliciter plutôt de nouveaux prêts pour des investissements productifs et créateurs de richesse.

Mon ami Khemaïs Chammari

Le mardi 8 mars 2011 marquera  la vie politique tourmentée de Khémais Chammari. Il venait d’être nommé ambassadeur auprès de l’UNESCO., et s’apprêtait  à quitter Tunis pour Paris. Habituellement soumis à  des humiliations notamment celle de la fouille au corps qu’il subissait régulièrement à l’aéroport  de Tunis Carthage, il me téléphone, ce matin, du salon d’honneur pour m’annoncer son départ.