La Tunisie se trouve aujourd’hui à un carrefour décisif, où elle se doit de décider quelle direction prendre ? Plusieurs obstacles se montrent de plus en plus infranchissables, voire mêmes d’une certaine agressivité généralisée, accompagnée de menaces inadmissibles et susceptibles de poursuites pénales. Le constat qu’on pourrait faire sur le Pays n’échappe à personne.
Kasserine : Portrait d’un marginal résistant à toutes les injustices
Ce témoignage ne fait de Rabii Gharsalli ni un héro ni une victime, mais seulement un témoin qui remet à l’ordre du jour une partie de la problématique du « terrorisme » que personne ne veut évoquer. La lutte contre le terrorisme ne réussira jamais sans justice, sans démocratie et transparence. L’issue de cette crise sécuritaire et sociale ne se fera jamais sans réforme et lutte contre la violence de l’Etat.
Sur l’affaire de l’embuscade terroriste à Bulla Regia
Dans l’affaire de l’embuscade terroriste à Bulla Regia, nous avons assisté à une logistique sophistiquée en équipement d’armes et d’uniformes, qui sont normalement apanage des commandos étrangers experts, si non le signe gravissime d’une infiltration de l’Armée nationale tunisienne
Tunisie : un terrorisme en force et une réaction indistincte
16 février 2014, un faux barrage sécuritaire (une vieille méthode algérienne) a été monté pour piéger une patrouille de la garde nationale dans la région de Bulla Regia, un site archéologique à cinq kilomètres du gouvernorat de Jendouba, soit à quelques kilomètres de la frontière Tuniso-Algérienne. Résultat : 4 victimes dont un civil et zéro mort de la part des meurtriers. Chose qui reflète la précision de l’acte et la grande confiance qu’ils ont en eux. Cette fois-ci, il s’agit d’une embuscade programmée semblable à celle qui a été réalisée au mont Chaâmbi en 2013 mais qui s’en prend à des civils sur la voie publique et dans une zone non montagneuse.
La Polit-Revue : Nidaa Tounes, niqab, Libye… quand l’histoire bégaye à force de se répéter
L’exclusion des ex RCDistes refait débat cette semaine à l’occasion de l’examen par l’ANC de la future loi électorale. Un débat qui divise à nouveau l’opposition sur fond de droitisation accrue de Nidaa Tounes. Pendant que les machines électorales se mettent en branle, l’Etat est toujours aux prises avec les affres du terrorisme.
Ministère de l’Intérieur et Médias : Haro sur la communication de crise
La semaine médiatique a été chargée en…terrorisme. Entre les événements de Raoued, du 4 février dernier, et quatre jours après, ceux de Borj Louzir, le ministère de l’Intérieur, les médias et les réseaux sociaux se sont encore une fois enflammés, traitant les informations d’une façon inappropriée.
Liquidation de Kamel El Gadhgadhi : Coup dur à l’intégrisme ou expiration d’un faux jeton
Qu’on le veuille ou non, il parait que le décès de Gadhgadhi, présumé responsable de l’assassinat de Belaid et des combattants de l’armée à Chaâmbi, met de la poudre aux yeux sur « l’armoire noire » de l’assassinat politique en Tunisie. Avec l’achèvement des sept terroristes de L’Ariana, La main « justicière » s’enlise d’avantage dans l’anonymat et la précarité.
La Polit-Revue : Terrorisme, est-ce « la lutte finale » ?
Deux opérations antiterroristes en une semaine ne sont pas sans répercussions politiques. Le coup de filet de samedi à dimanche à Borj Louzir a convaincu les plus sceptiques de la réalité d’une guerre aussi obscure qu’impitoyable.
Au temps des catastrophes : terrorisme et violence politique dans la Tunisie postrévolutionnaire
À présent, la violence politique dans la Tunisie postrévolutionnaire accompagne comme un double hideux le progrès de la culture démocratique et elle apparaît comme un réel défi de société. En effet, la violence politique qui s’est déclarée en Tunisie après l’assassinat de Mohamed Brahmi, frappe par son ampleur les observateurs.
La Polit-Revue : Aux playoffs du dialogue, les candidats se neutralisent
Y a-t-il une fin aux vains bavardages du dialogue national ? Cette semaine la sélection d’un futur Premier ministre n’a […]
La polit-Revue : Petits arrangements entre ennemis
Cette semaine a vu s’accomplir un fait quasi miraculeux : le départ « réellement effectif » du dialogue national, vendredi […]
La Polit-Revue : Le terrorisme s’invite dans le débat politique national
Au moment où les blocages politiques requièrent une grande part de rationalisme, l’émotion suscitée par le martyr supplémentaire d’agents en uniforme vient accentuer les clivages entre adversaires politiques, tandis que les syndicats des forces de l’ordre se politisent à leur tour. Alors que tous les regards se tournent vers la date fatidique du 23 octobre…
L’Observatoire Tunisien de l’Indépendance de la Magistrature critique les déclarations de l’Union nationale des syndicats des forces de sécurité tunisienne
Bardo le 7 Septembre 2013 Communiqué L’Observatoire Tunisien de l’Indépendance de la Magistrature (OTIM) réuni dans le cadre de son […]
Conférence de presse de Lotfi Ben Jeddou : Les “preuves irréfutables” de la responsabilité d’Ansar Al-Chariaa
Lors d’une conférence de presse, tenue aujourd’hui mercredi 28 août à midi, le ministre de l’Intérieur, Lotfi Ben Jeddou, a présenté les résultats de l’enquête et les preuves qui confirment l’implication du mouvement d’Ansar Al Charia, dans les assassinats politiques de Chokri Belaid et de Mohamed Brahmi, dans des trafics d’armes en Tunisie, ainsi que dans les attentats du mont Chaâmbi, de la Goulette et de Mhamdia.
Ali Laârayedh : « Nous avons décidé de classer Ansar al-Charia comme une organisation terroriste »
Le chef du gouvernement Ali Laârayedh a tenu une conférence de presse ce mardi 27 août, au palais du gouvernement à la Kasbah. Au programme : la situation politique et sécuritaire du pays.
Terrorisme en Tunisie : L’avis de militaires et d’anciens experts du ministère de l’Intérieur
Ce 16 août, le parti “Tendance démocratique” a organisé une conférence partisane portant sur la « la sécurité nationale et le terrorisme ». À cette occasion, plusieurs experts ont été invités à intervenir. Deux allocutions ont été prononcées pendant la conférence.
Reportage : Kasserine, entre la peur et la détermination
Mehdi a 20 ans. Grâce à lui, le premier terroriste des groupes armés à Djebal Chaâmbi a été arrêté. Quand à Sana, 16 ans, aider les terroristes est un devoir islamique, quitte à faire ce qu’on appelle le “djihad du niqah”. Des montagnes de Kasserine jusqu’à la mosquée Al Tawba à Hay Ezzouhour, la détermination pour vaincre le terrorisme croise la folie et la peur.
Analogies entre l’affaire Merah et le terrorisme en Tunisie
Le mode opératoire de Mérah et des tueurs de Belaid dont fait partie Boubaker sont étrangement semblables : tuer de sang froid par balles en scooter. La complaisance du gouvernement Nahdha et même sa complicité dans les meurtres par un réseau d’infiltrations n’est plus à prouver après différentes enquêtes de Nawaat.